Livre de l'Ecclésiastique 44,16-17.22-23.45,3.7.15.
Voici le grand pontife, qui pendant sa vie, fut agréable à Dieu,
et, au temps de la colère est devenu la réconciliation des hommes : il ne s'en est pas trouvé de semblable à lui dans l'observance de la loi du Très-Haut.
C'est pourquoi il a juré de le faire croître dans son peuple.
Le Seigneur a béni en lui toutes le nations, et a confirmé en lui son Alliance.
Il eut égard à lui dans ses bénédictions, il lui a continué sa miséricorde, et il trouva grâce devant le Seigneur.
Par sa parole, il a fait cesser des prodiges. Il l'a glorifié devant les rois, il lui a donné un commandement devant son peuple et il lui a montré sa gloire.
Il a établi avec lui une alliance éternelle, et lui a donné le sacerdoce suprême.
Il l'a rendu heureux dans la gloire, pour exercer le sacerdoce, louer son nom et lui offrir un encens d'agréable odeur.
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 25,14-23.
En ce temps-là, Jésus dit à ses disciples cette parabole : Partant pour un voyage, un homme appela ses serviteurs et leur remit ses biens.
A l'un il donna cinq talents, à un autre deux, à un autre un, à chacun selon sa capacité, et il partit en voyage. Aussitôt,
celui qui avait reçu les cinq talents s'en alla les faire valoir, et il en gagna cinq autres.
De la même manière, celui qui avait reçu les deux, en gagna lui aussi deux autres.
Mais celui qui en avait reçu un s'en alla faire un trou en terre, et il y cacha l'argent de son maître.
Longtemps après, le maître de ces serviteurs revient et leur fait rendre compte.
S'avançant, celui qui avait reçu les cinq talents en présenta cinq autres, en disant : " Maître, vous m'aviez remis cinq talents ; voici cinq autres talents que j'ai gagnés. "
Son maître lui dit : " Bien, serviteur bon et fidèle ; en peu tu as été fidèle, je te préposerai à beaucoup ; entre dans la joie de ton maître. "
S'avançant aussi, celui qui avait reçu les deux talents dit : " Maître, vous m'aviez remis deux talents ; voici deux autres talents que j'ai gagnés. "
Son maître lui dit : " Bien, serviteur bon et fidèle, en peu tu as été fidèle, je te préposerai à beaucoup ; entre dans la joie de ton maître. "
Julienne de Norwich , mystique occidentale
(1342-apr
Révélations de l'amour divin, ch. 14
« Entre dans la joie de ton maître »
Notre Seigneur m'a dit :
« Je te remercie pour ton labeur, surtout au temps de ta jeunesse. »
Mon entendement a été élevé jusqu'au ciel, et j'ai vu notre Seigneur comme un maître en sa propre maison, ayant appelé à un banquet solennel tous ses chers serviteurs et amis. J'ai vu qu'il ne s'attribuait aucune place en sa demeure ; il y régnait partout en roi.
Il l'emplissait de joie et d'allégresse, ne cessant personnellement de contenter et consoler ses très chers amis, en toute intimité et courtoisie, par une merveilleuse mélodie d'amour perpétuel qui émanait de son bel et bienheureux visage. Visage glorieux de la divinité qui emplit les cieux de joie et d'allégresse.
Dieu m'a montré trois degrés de béatitude au ciel pour toute âme qui l'aura servi volontiers de quelque façon sur terre.
Le premier : le remerciement de gloire qu'elle recevra de notre Seigneur Dieu quand elle sera délivrée de ses peines. Ce remerciement est si élevé et si glorieux qu'elle se sentira comblée, comme s'il n'y avait pas d'autre béatitude.
Car à mon sens toutes les peines et labeurs de tous les hommes vivants seraient encore insuffisants pour mériter le remerciement qu'un seul recevra pour avoir servi Dieu avec bonne volonté.
Le second : toutes les créatures bénies qui peuplent le ciel verront ce remerciement glorieux, car à toutes il fait connaître les services qui lui ont été rendus...
Un roi, s'il remercie ses sujets, leur rend un grand honneur, mais s'il le fait savoir à tout le royaume, l'honneur est considérablement plus grand.
Le troisième : ce remerciement sera aussi nouveau et réjouissant dans l'éternité qu'à l'instant où l'âme le recevra.
Il m'a été révélé avec une grande simplicité et douceur que l'âge de chacun sera connu au ciel.
Chacun sera récompensé pour les œuvres qu'il aura faites et pour leur durée.
Très particulièrement, ceux qui, volontiers et librement, auront offert à Dieu leur jeunesse seront récompensés sans mesure et remerciés de manière merveilleuse.
PRIERE ORTHODOXE AU CHRIST MISERICORDIEUX:
Vous qui en tout temps et à toute heure, au ciel et sur la terre, êtes adoré et glorifié, ô Christ Dieu, longanime, plein de miséricorde et de compassion, Vousi qui aimez les justes et avez pitié des pécheurs, Vous qui appellez tous les êtres au salut par la promesse des biens à venir, Vous-même, Seigneur, reçevez aussi nos prières en cette heure et dirige nos vies selon Vos commandements. Sanctifiez nos âmes, purifiez nos
corps, redressez nos raisonnements, purifiez nos pensées et délivrez-nous de toute affliction, malheur et tourment.
Entoure-nous du rempart de Vos saints anges afin que, gardés et conduits par eux, nous parvenions à l’unité de la foi et à la connaissance de Votre gloire inaccessible, car Vous êtes béni avec le Père et l'Esprit Saint: Dieu unique et vrai dans les siècles des siècles. Amîn.
Le temps qui nous est donné ici bas est court, et quand il arrive à son terme, il n'y a plus de place pour le repentir.
(Saint Nicolas Velimirovitch)
Au calendrier Malankare Orthodoxe:
"Jeûne des Apôtres" (Préparant les Fêtes de St Pierre et Paul (29 Juin) et des Saints Apôtres (30 Juin)
June 17 th. Day 2 of the Apostolic Lent.
"Even now," declares the LORD, "return to me with all your heart, with fasting and weeping and mourning." Rend your heart and not your garments.
Return to the LORD your God, for He is gracious and compassionate, slow to anger and abounding in love, and He relents from sending calamity. Who knows? He may turn and relent and leave behind a blessing — grain offerings and drink offerings for the LORD your God."
Joel 2:12-14
Daily Bible Reading.
June 17th.
2Chronicles Chapter 19-20
Psalms 119:51-60
Proverbs Chptr 29:11-15
Romans Chapter 5-6
Good Morning and have a Good Day
(Prepared by Nikith K Zacharia)
DU CÔTE DE NOS FRERES AÎNES LES SAINTS:
Saint Hervé
le Barde du Christ.
Ermite
(VIe siècle)
Hyvarnion, barde renommé de l'île de Bretagne, est convié à la cour de Childebert, mais, pieux et chaste, la vie de cour ne lui convient pas. Résolu à se consacrer totalement à Dieu, il retourne chez lui en passant par l'Armorique. Là, il rêve d'un futur mariage. Décidé de se consacrer à Dieu il ne sait que penser quand un ange vient lui dire : « Elle s'appelle Rivanone; tu la rencontreras demain et tu la prendras comme épouse; de votre union naîtra un grand serviteur de Dieu. » Il la rencontre et l’épouse. Ni l'un ni l'autre ne voulant d’une vie commune, le lendemain des noces Rivanone dit à Hyvarnion : « Si j'ai un fils je demande au Dieu tout puissant qu'il ne voie jamais la fausse et trompeuse lumière de ce monde », et avant de la quitter pour toujours, il lui répond : « Oui ! Mais qu'il ait au moins la vision des splendeurs célestes. » L'enfant naît aveugle. Quand Hervé atteint l'âge de sept ans, alors qu’il connaît par cœur tous les psaumes et les sept hymnes de l’Eglise les plus employées de son temps, Rivanone le confie à un saint moine. Saint Hervé ne retrouve sa mère que des années plus tard et c'est pour l'assister dans ses derniers instants. S'il est aveugle, comme le désirait Rivanone, Hervé est aussi barde comme Hyvarnion qui avait demandé que son fils ne cesse d'avoir la vision des splendeurs célestes. C'est ainsi qu'il compose le magnifique cantique du Paradis.
Son éducation terminée, Hervé part vivre en ermite mais il est vite rejoint par des disciples. Guidé par son disciple Guiharan et escorté d’un loup qu’il avait apprivoisé, Hervé, chantant la beauté du Paradis, conduit sa communauté qui, sillonnant la Bretagne, suit le soleil, pour finir par s’installer à Plouider qui deviendra Lanhouarneau (l’ermitage d’Hervé).
Toute sa vie, il refuse obstinément de recevoir le sacerdoce, acceptant seulement d’être ordonné exorciste. Bien qu’il fût aveugle, Hervé avait été lui-même l'architecte de sa petite église qu’il ne voulut jamais quitter. Il s’y trouvait enfermé, trois jours avant sa mort, lorsque ses yeux s'ouvrirent tout à coup, et il se mit à chanter un dernier cantique : « Je vois le Ciel ouvert, le Ciel ma patrie. Je veux m'y envoler. Je vois mon père et ma mère dans la gloire et la beauté; je vois mes frères, les hommes de mon pays. Des chœurs d'Anges, portés sur leurs ailes, volent autour de leurs têtes, comme autant d'abeilles dans un champ de fleurs. » Le troisième jour après cette vision, il appela sa nièce Christine qui se trouvait alors auprès de lui; c'était une orpheline élevée par sa mère : « Prépare-moi une pierre pour oreiller et de la cendre pour couchette; quand l'ange noir viendra me chercher, qu'il me trouve couché sur la cendre. »
Christine, tout en lui obéissant, lui dit : « Mon oncle, si vous m'aimez, demandez à Dieu que je vous suive sans tarder, comme la barque suit le courant. » Elle fut exaucée : au moment où Hervé expirait, la petite Christine, se jetant à ses pieds, y mourut aussi. Lorsqu'il meurt entouré de ses nombreux moines, tous peuvent entendre les chœurs célestes entonner une hymne que leur saint père chantait depuis toujours.
Inhumé à Lanhouarneau (Finistère), son tombeau est vénéré par de grands concours de peuples. Ses reliques, par crainte des Normands, sont recueillies dans la chapelle du château de Brest (878); mise dans une châsse d’argent, elles sont données par le duc Geoffroy à l’évêque de Nantes (1002); elles disparaissent de la cathédrale de Nantes pendant la révolution française.
Tropaire ton 1
O Hervé, toi le ménestrel et l'enseignant de la Foi, / ta douce voix illumina les ténèbres bien que tu sois né sans le don de la vue./ Prie que la lumière du Christ puisse toujours disperser les nouvelles ténèbres païennes en nos pays,/ Afin que Dieu puisse être glorifié.
Tropaire ton 8
Fidèles, accourons pour louer et célébrer la fleur des bardes,/ Hervé l’aveugle au monde, le clairvoyant des yeux du cœur aux célestes splendeurs./ Par tes larmes tu as purifié ton âme de toute souillure, / et reçu du Sauveur en partage la plénitude des dons de l’Esprit./ Par tes hymnes inspirés tu as converti en espérance l’amertume des infidèles./ Bienheureux Hervé, prie le Christ notre Dieu // qu’Il ouvre à nous aussi les portes du repentir en sa grande miséricorde.
Kondakion ton 2
Armé divinement de spirituelle clarté / et tenant en main fortement / comme lance l'incessante oraison, / tu as transpercé les diaboliques escadrons ; / vénérable Hervé, Père Saint // prie sans cesse le Christ en faveur de nous tous.
Saint Avit
Abbé de Micy-Saint Mesmin
(† v. 530)
Avit naît au pays de Beauce, de deux humbles cultivateurs. Quand sa mère le mit au monde, sa chambre, comme une autre étable de Bethléem, fut inondée d'une céleste lumière, indice des grandes destinées de cet enfant. Jeune homme, il entra dans l'abbaye de Micy, appelée plus tard de Saint-Mesmin, près d'Orléans. Dès les premiers jours, il s'y fit le serviteur de tous, au point de passer près de certains de ses frères pour un idiot et un incapable.
Le saint abbé Mesmin ou Maximin sut discerner son mérite dans sa charité pour les pauvres, et lui donna la charge d'économe du couvent. Mais bientôt l'amour de la solitude l'emporte : il dépose, de nuit, ses clefs dans le lit de l'abbé endormi, et s'enfuit au fond d'une épaisse forêt, à cinq lieues du monastère. Là, il vivait dans un si parfait détachement du monde, dans une si grande union à Dieu, qu'il semblait un esprit plutôt qu'un homme.
À la mort de l'abbé Maximin, les religieux du couvent, qui avaient souvent ridiculisé Avit, furent les premiers à le choisir pour abbé. De temps en temps, saint Avit, toujours épris de la solitude, se retirait au plus épais de la forêt pour s'y retrouver seul quelques jours avec Dieu.
Il guérit un grand nombre de malades, rendit la vue à un aveugle de naissance et ressuscita un de ses religieux.
Il meurt vers l'an 530.
Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.
BONNE FETE AUX HERVE, ERWAN, HERVELINE, HOUARN …
St Shalva of Akhaltsikhe
Commemorated on June 17
Saint Shalva of Akhaltsikhe was a brilliant military commander in the army of Queen Tamar and the prince of Akhaltsikhe. After his victory at Shamkori in the Ganja region, Shalva carried with him the flag of the caliph, as a sign of the invincibility of the Christian Faith, and conferred it, along with the wealth he had won, as an offering to the Khakhuli Icon of the Theotokos. For his selfless service, Queen Tamar honored him with the rank of commander-in-chief of the Georgian army.
During the reign of Queen Tamar’s daughter Rusudan (1222-1245), the armies of Sultan Jalal al-Din stormed into Georgia. Rusudan rallied the Georgian forces and appointed a new commander-in-chief by the name of John Atabeg.
Six thousand Georgians confronted a Muslim army of two hundred thousand near the village of Garnisi. Command of the advance guard was entrusted to the brave and valorous brothers Shalva and John of Akhaltsikhe, while John Atabeg remained with the main body of the army for the decisive battle.
The advance guard fought fearlessly, though the enemy’s army greatly surpassed it in number. The brothers fought with great devotion, hoping for support from the commander-in-chief, but John Atabeg was seized with envy—rather than fear—and never offered them his help. “O envy, source of every evil!” wrote one chronicler of the incident.
The enemy devastated the Georgian army, killing four thousand of its most valiant soldiers. Among them was John of Akhaltsikhe, whose brother Shalva was captured and delivered as a slave to Jalal al-Din.
Jalal al-Din was overjoyed to have the famed soldier and military leader brought before him. He received him with proper honor, offered him cities of great wealth, and promised him more if he agreed to convert to Islam.
Jalal al-Din sought with great persistence to convert Shalva to Islam, but his efforts were in vain—Shalva would not be converted, and nothing in the world would change his mind. So the sultan ordered that he be tortured to death.
After hours of torment failed to kill him, Jalal al-Din’s servants cast the half-dead martyr in prison, where he later reposed.
===
Martyr Nectan of Hartland
St Nectan was born in Wales and lived in the sixth century, but we know few details about his life. He was the oldest of the twenty-four children of St Brychan of Brecknock (April 6). While he was still living in Wales, God inspired him to imitate the example of St Anthony (January 17) and other ascetics, and to embrace the monastic life.
Seeking greater solitude, St Nectan and his companions left Wales, intending to settle wherever their boat happened to land. Divine providence brought them to the northern coast of Devonshire at Hartland, where they lived for several years in a dense forest. The saint’s family would visit him there on the last day of the year. Later, he relocated to a remote valley with a spring.
Once, St Nectan found a stray pig and returned it to its owner. In gratitude, the swineherd gave St Nectan two cows. The saint accepted the gift, but the cows were soon stolen by two robbers. St Nectan found the thieves who took the animals, and tried to preach to them about Christ. They became angry and cut off his head. Then the saint picked up his head and carried it for half a mile, laying it down near the spring by his cell. Seeing this, the man who killed St Nectan went out of his mind, but the other thief buried him. From that time, miracles began to take place at St Nectan’s tomb.
In 937 St Nectan appeared on the eve of the Battle of Brunanburgh to a young man from Hartland who was in a tent near King Athelstan’s pavilion. Suddenly, he felt himself afflicted with the plague which was then destroying the English army. The young man wept and called upon God and St Nectan to help him. His cries were so loud that he woke the king and others around him.
St Nectan came to the young man just after midnight and touched the afflicted area of his body, healing him. In the morning, he was brought before the king and admitted that it was he who had disturbed Athelstan’s sleep. The king asked gently why he had been crying out during the night.
The young man explained that he felt himself stricken with the plague, and was afraid that he would die. Therefore, he entreated God and St Nectan to help him, and his prayer was answered.
Athelstan asked for more information about the life and martyrdom of St Nectan, which the young man provided. He also urged the king to turn to St Nectan with faith, promising that he would be victorious in battle if he did so.
The king promised to honor God and St Nectan, and so his faith was rewarded. Not only did he win the battle, but the plague disappeared and his soldiers recovered. The first time that King Athelstan visited Hartland in Devonshire, he donated property to the saint’s church. For the rest of his life, the king placed great confidence in the intercession of St Nectan.
St Nectan is the patron of Hartland, Devonshire. The fullest surviving Life dates from the twelfth century (See Vol. 5 of THE SAINTS OF CORNWALL by G. H.
Doble for an English translation).here is an Orthodox house chapel (Russian diocese of Sourozh) dedicated to St Simeon and St Anna at Combe Martin, N. Devon where St Nectan is venerated.
O Good Mother of All-good God: look upon the prayer of thine
unworthy servant with Thy merciful eye and grant me the
contrition, quietness of thoughts, constancy of mind, chaste
reason, sobriety of soul, humble thinking, radiance of spririt,
prudent disposition, and spiritual peace that the Lord granted
His disciples.
( St. Ephraim the Syrian )
Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/
maliath taibootho/ full of grace/
moran a'amekh - the Lord is with thee/
mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/
wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/
O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/
yoldath aloho/ Mother of God/
saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/
nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./
Amîn
Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.
Apostles fast begins/ Début du "Jeûne des Apôtres" (Préparant les Fêtes de St Pierre et Paul (29 Juin) et des Saints Apôtres (30 Juin)
Thursday, Jun 16/ Jeudi 16
DU CÔTE DE NOS FRERES AÎNES LES SAINTS: