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15 juin 2016 3 15 /06 /juin /2016 09:25

 

The all-wise St. John Chrysostom said: "A place will not save us if we do not carry out the will of God." It is told of a monk who lived in a monastery where five brethren loved him and one brother offended him. Because of this one brother who offended him, he moved to another monastery. However, in this monastery eight of the brethren loved him and two of the brethren offended him. He then fled to a third monastery. But here, seven of the brethren loved him and five of the brethren offended him. He set out for a fourth monastery but along the way he thought: "How long will I flee from place to place? I will never find peace in the whole world. It would be better for me to become patient." He pulled out a piece of paper and wrote in bold letters: "I will endure all for the sake of Jesus Christ, the Son of God." When he entered the fourth monastery here also some love him and others offended him. But he patiently began to endure the offenses. As soon as someone offended him, he would take out that piece of paper and read: "I will endure all for the sake of Jesus Christ, the Son of God." So with patience he succeeded and all loved him and he remained in that monastery until his death.

The all-wise St. John Chrysostom said: "A place will not save us if we do not carry out the will of God." It is told of a monk who lived in a monastery where five brethren loved him and one brother offended him. Because of this one brother who offended him, he moved to another monastery. However, in this monastery eight of the brethren loved him and two of the brethren offended him. He then fled to a third monastery. But here, seven of the brethren loved him and five of the brethren offended him. He set out for a fourth monastery but along the way he thought: "How long will I flee from place to place? I will never find peace in the whole world. It would be better for me to become patient." He pulled out a piece of paper and wrote in bold letters: "I will endure all for the sake of Jesus Christ, the Son of God." When he entered the fourth monastery here also some love him and others offended him. But he patiently began to endure the offenses. As soon as someone offended him, he would take out that piece of paper and read: "I will endure all for the sake of Jesus Christ, the Son of God." So with patience he succeeded and all loved him and he remained in that monastery until his death.

Deuxième lettre de saint Paul Apôtre à Timothée 4,1-8.

Mon bien-aimé : je t'adjure devant Dieu et le Christ Jésus, qui doit juger les vivants et les morts, par son avènement et son royaume : 
prêche la parole, insiste à temps et à contretemps, reprends, censure, exhorte, avec une entière patience et souci d'instruction. 
Car un temps viendra où les hommes ne supporteront pas la saine doctrine, mais au gré de leurs désirs se donneront une foule de maîtres, l'oreille leur démangeant, 
et ils détourneront l'oreille de la vérité pour se tourner vers les fables. 
Pour toi, sois sobre en toutes choses, endure la souffrance, fais œuvre de prédicateur de l'Evangile, remplis pleinement ton ministère. 
Quant à moi, je suis déjà offert en sacrifice, et le moment de mon départ approche. 
J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi : 
désormais m'est réservée la couronne de la justice, que m'accordera en ce jour-là le Seigneur, le juste Juge, et non seulement à moi, mais à tous ceux qui auront chéri son apparition. 

 


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 14,26-35.

En ce temps-là, Jésus dit aux foules : " Si quelqu'un vient à moi sans haïr son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, ses sœurs et jusqu'à sa propre vie, il ne peut être mon disciple. 
Quiconque ne porte pas sa croix et ne me suis pas, ne peut  être mon disciple. 
Qui de vous, en effet, s'il veut bâtir une tour, ne s'assied d'abord pour calculer la dépense, pour voir s'il a de quoi l'achever ?
De peur qu'ayant posé le fondement et ne pouvant pas terminer, tous ceux qui verront cela ne se mettent à le ridiculiser,
disant : " Cet homme a commencé à bâtir, et il n'a pu terminer ! " 
Ou quel roi, s'il va faire la guerre à un autre roi, ne s'assied d'abord pour délibérer s'il est capable de se heurter, avec dix mille hommes, à celui qui vient contre lui avec vingt mille ? 
S'il ne l'est pas, tandis qu'il est encore loin, il envoie une ambassade faire demande de paix. 
Ainsi donc, quiconque d'entre vous ne renonce pas à tout ce qu'il possède ne peut être mon disciple. 
Certes le sel est bon ; mais si le sel s'affadit, avec quoi l'assaisonnera-t-on ?
Inutile et pour la terre et pour le fumier, on le jette dehors. Qui a des oreilles pour entendre entende ! " 

 

UNE PRIERE TIREE DE LA TRADITION OCCIDENTALE TARDIVE:

 

« Suscipe, Domine,
universam meam libertatem;
accipe memoriam,
intellectum
atque voluntatem omnem;
quidquid habeo vel possideo
mihi largitus es;
id tibi totum restituo
ac tuae prorsus voluntati
trado gubernandum;
amorem tui solum cum gratia
tua mihi dones
et dives sum satis, nec aliud quidquam ultra posco. 

Prenez, Seigneur et reçevez,
toute ma liberté,
ma mémoire,
mon intelligence
et toute ma volonté;
Tout ce que j'ai et possède,
c'est Vous qui me l'avez donné:
A Vous, Seigneur, je le rends Tout est à Vous,
disposez-en
selon Votre entière volonté.
Donnez-moi seulement Votre amour et Votre grâce :
j'en serai comblé. »

Ignace de Loyola (1491-1556)

St Ignace de Loyola,prière,Suscipe,Domine,Prends,Seigneur,reçois,liberté,mémoire,intelligence,volonté,amour,grâce

 

"Le Nom de Jésus-Christ est puissant.

Par lui, tout ce qui est désagréable est

apaisé et les démons sont dispersés."


(Saint Antoine d'Optina)

« Ô étrange Église Orthodoxe, si pauvre et si faible, qui se maintient comme par miracle à travers tant de vicissitudes et de luttes.

Église de contrastes, à la fois si traditionnelle et si libre, si archaïque et si vivante, si ritualiste et si personnellement mystique.

Église où la perle de grand prix de l'Évangile est précieusement conservée, parfois sous une couche de poussière.

Église qui souvent n'a pas su agir, mais qui sait chanter comme nulle autre la joie de Pâques." 


(P. Lev Gillet)

 

MASSACRE D'ORLANDO

The early morning tragedy that occurred in Orlando grieves us deeply. The order and peace which is prevalent in our great nation is broken with such hatred and violence. We join the religious leaders of our nation who promote the virtues of peace and love, and our civil leaders who seek justice and order.

May the healing hand of our Lord be upon all those who were injured. Let us pray for the loved ones of those who were tragically killed and wounded. May God show forth His spirit of discernment and wisdom upon the authorities who are responding to this act of terror and hate.

In this moment of darkness, let us continue to be the light that will shun any form of hatred. May God’s healing power be upon the people of Orlando and the people of our nation.

- Metropolitan Zachariah Mar Nicholovos

 

Chers amis. Aloho m'barekh

Que cette tragédie nous soit l'occasion de

 

nous rappeler à la prière pour les

 

victimes de toutes les

 

tragédies terroristes ainsi que leurs 

 

bourreaux .

 

Nous le ferons avec une prière inspirée*

 

de St Ephrem

 

le Syrien à Marie

 

 

 

 

O Marie, notre Médiatrice, 


C’est en vous que le genre humain met toute sa joie.


Il attend votre protection.


En vous seule il trouve son refuge. (Nous vous confions 

 

les pauvres fils et filles d'une humanité qui s'égare en 

 

écoutant la voix de Satan, le diviseur, l’ennemi du genre 

 

humain.

 

 

Tous ces fils et filles, Ô mère, sont vôtres, le Verbe 

 

prenant chair se les ait unis lorsque, par votre 

 

acquiescement et sous la force du Saint Esprit, vous lui 

 

transmîtes notre humanité.

 

 

Intercédez pour chacun d'eux pour qu’ils rencontrent, par 

 

la lumière du St Esprit, votre Fils, le Prince de la paix, 

 

vrai Dieu et vrai homme ...) 


Et voici que, moi aussi, je viens vers vous avec toute ma 

 

ferveur, car (en raison de ma misère) je n’ai pas le 

 

courage d’approcher votre Fils : aussi j’implore votre 

 

intercession pour obtenir mon salut.

 


O vous qui êtes compatissante,


O vous qui êtes la Mère du Dieu de miséricorde, ayez

 

pitié de moi. (Ayez pitié des victimes de tous les 

 

massacres et de leurs bourreaux, poursuivez-les de votre

 

amour compatissant, accompagnez-les afin qu'ils

 

trouvent 

 

le Chemin du bonheur et de la paix, le Christ Notre-

 

Seigneur qui les conduira au Père par la lumière, le feu 

 

et la force du St Esprit) 

 

 

Amîn.

 

*Ce qui est entre parenthèse est du claviste

(Mor Philipose-Mariam)

 

DU CÔTE DE NOS FRERES AÎNES LES SAINTS:

 

SAINT BASILE LE GRAND
Docteur de l'Église
(329-379)

Saint_Basile_1b.jpg

Saint Basile naquit à Césarée, l'an 329, d'une famille où la sainteté était héréditaire; son père et sa mère, deux de ses frères, une de ses sœurs, sans parler des autres, sont placés au rang des Saints. Un seul défaut paraissait dans cet enfant de prédilection, sa faible santé ; elle se rétablit pourtant, grâce aux prières de ses parents plutôt qu'aux remèdes. 

Doué d'un heureux génie, Basile s'éleva vite au niveau des grands hommes, non moins qu'à la hauteur des Saints : " Il était, dit son ami Grégoire de Nazianze, au-dessus de son âge par son instruction, au-dessus de son instruction par sa vertu ; il était rhéteur avant d'avoir étudié l'art des rhéteurs, philosophe avant d'avoir étudié la philosophie, prêtre avant d'avoir reçu le sacerdoce. " Ses aptitudes universelles, sa rare modestie, ses vertus éminentes, lui conciliaient l'estime et l'admiration de tous. 

À vingt-trois ans, il parut à Athènes et se lia avec Grégoire de Nazianze, au point que tous les deux ne faisaient qu'un cœur et qu'une âme. De retour en son pays, les applaudissements qu'il reçut l'exposèrent à une tentation de vaine gloire dont il fut si effrayé, qu'il embrassa l'état monastique pour y vivre dans l'oubli du monde et la pénitence ; il fonda plusieurs monastères, écrivit, pour les diriger, des ouvrages ascétiques très estimés et traça des règles de vie religieuse demeurées célèbres. 

Un très léger repas par jour, un sommeil très court sur la dure, de longues veilles, un vêtement léger par les temps les plus froids, tel était l'ordinaire de ce saint austère, " dont la pâleur, dit saint Grégoire, annonçait un mort plutôt qu'un vivant. " Basile eut à souffrir d'infirmités continuelles ; dans le temps de sa meilleure santé, dit-il lui-même, il était plus faible que ne sont les malades abandonnés des médecins.

Son zèle pour la défense de l'Orthodoxie attaquée par l'hérésie d'Arius, son zèle pour l'Orthodoxie de la Foi attaquée et l'unité Catholique mise à mal, le fit sortir de sa retraite, et bientôt il courbait la tête sous le fardeau de l'épiscopat.

Ni les intrigues, ni les menaces n'eurent jamais prise sur cette grande âme. Un préfet le mande un jour et lui enjoint d'obéir à un prince arien, sous peine de confiscation de ses biens, de l'exil, des tourments, et de mort : " Faites-moi d'autres menaces, dit Basile, car il n'y a rien là que je puisse craindre ; le premier coup suffira pour achever mes peines ; la mort m'unira à mon Dieu. " L'empereur dut s'avouer vaincu. 

Le saint pontife mourut à cinquante et un ans, ne laissant pas de quoi se faire élever un tombeau de pierre.

 

Pour aller plus loin, vous pouvez lire 

les Catéchèses du Pape émérite de Rome Benoît XVI sur St Basile le Grand :
Audience générale des mercredi 4 juillet et 1er août 2007

 

 

St Elisée est un prophète israëlite

du IXème s. av. J.C.

 

 

Elisée dont le nom signifie « homme de Dieu » est connu par la Bible, à travers  les Livres des Rois, mais son histoire a été construite comme un cycle légendaire copié très souvent sur celui de son maître Elie.

 

C’est en effet le disciple et le successeur du grand prophète Elie. Ils sont tous deux des Israélites du royaume du nord, Israël, dont la capitale est Samarie, alors que le royaume de Juda est celui du Sud. Elisée lutte pour Yahvé contre les dieux païens, les Baal, mais il apparaît aussi comme un homme qui vient au secours des autres : il guérit de la lèpre un général syrien, Naamân, il ressuscite le fils de la Sunamite .

Il n’est cité qu’une seule fois dans les Evangiles mais deux fois dans le livre de référence des Musulmans le Coran où il est appellé Alyasâ.

 

BONNE FETE AUX BASILE et ELISEE

 

Today's Gospel 14 June - For The Holy Prophet Elisseus (Elisha)

The Reading from the Holy Gospel according to Luke (4:22-30)

 

At that time, the crowd spoke of him, and wondered at the gracious words which proceeded out of his mouth; and they said, "Is not this Joseph's son?" And he said to them, "Doubtless you will quote to me this proverb, 'Physician, heal yourself; what we have heard you did at Capernaum, do here also in your own country.'" And he said, "Truly, I say to you, no prophet is acceptable in his own country. But in truth, I tell you, there were many widows in Israel in the days of Elijah, when the heaven was shut up three years and six months, when there came a great famine over all the land; and Elijah was sent to none of them but only to Zarephath, in the land of Sidon, to a woman who was a widow. And there were many lepers in Israel in the time of the prophet Elisha; and none of them was cleansed but only Naaman the Syrian.

" When they heard this, all in the synagogue were filled with wrath.

 

And they rose up and put him out of the city, and led him to the brow of the hill on which their city was built, that they might throw him down headlong. But passing through the midst of them he went away.

Glory to Thee, O Lord, glory to Thee

 

ELISEE 14 JUIN

'Look at the reality: psalmody succeeds psalmody; reading, reading; study, study; prayer, prayer, like a wheel drawing us and joining us to God. How truly excellent is this way of life, how supremely excellent! How blessed this life and thrice-blessed!'

( St. Theodore the Studite)

 

 

 

 

 

(A rare byzantine icon of the saint Mor Dodo)

 

'Be ruled by God and rule over your senses; and, being on a higher level, do not give authority to what is inferior to you.' (St. Thalassios the Libyan)

 

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin  Mary/ 

  maliath taibootho/ full of grace/ 
  moran a'amekh  - the Lord is with thee/ 
  mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ 
  
wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/  and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ 
  O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ 
  yoldath aloho/  Mother of God/ 
  saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ 
  nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ 
  Amîn 

 

Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

 

 

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EN VRAC...ELEMENTS EPARS POUR VOTRE

 

REFLEXION PERSONNELLE ET...ALIMENTER

 

VOTRE PRIERE...

 

 

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En Anjou, marcher à la découverte du patrimoine religieux

Nous lisons sur le site de la Croix que de belles initiatives voient le jour , bien propres à valoriser notre Patrimoine Culturel Chrétien.

Marcher sur les traces des grands saints d’Anjou, découvrir un monastère, un sanctuaire marial ou admirer un clocher tors… C’est à toutes sortes d’itinéraires pédestres et spirituels que convie l’ouvrage Pèleriner en Anjou, lancé par la pastorale du tourisme et des loisirs du diocèse d’Angers. Celui-ci propose 49 randonnées accessibles à tous, au cœur du patrimoine religieux de Maine-et-Loire, du plus connu (cathédrale d’Angers, abbaye de Fontevraud, sanctuaire de Notre-Dame de Béhuard…) au plus discret, s’offrant au détour d’un sentier.

Dans le cloître de l’abbaye royale de Fontevraud. / Frank Perry/AFP

(Dans le cloître de l’abbaye royale de Fontevraud. / Frank Perry/AFP

Ouvrage recensant les randonnées accessibles à tous autour du très riche patrimoine religieux du Maine-et-Loire. )

« Je suis frappée par le nombre de personnes qui restaurent des fontaines, des chapelles ou des oratoires », confie Marie-Claude Rousseau, spécialiste d’art sacré et coordinatrice de l’ouvrage. Autre spécificité locale : un culte très vivace pour la Vierge Marie, à l’image, par exemple, de Notre-Dame-de-la-Guérison, vénérée par les gens du voyage dans la chapelle de Russé, dans le Saumurois.

(Source et, pour lire la suite sur En Anjou, marcher à la découverte du patrimoine religieux – La Croix)

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Si Poutine ne veut pas que les forces de rétorsion de la Russie soient éliminées, il devra être le premier à appuyer sur le bouton nucléaire.

Les actes parlent plus que les mots, et le président américain Barack Obama vient de poser son acte et ne s’est plus contenté de parler. Son acte a été de refuser de discuter avec le président russe, Vladimir Poutine au sujet du plus grand souci de la Russie, le récent changement dans la stratégie nucléaire des États-Unis, un changement dramatique et terrifiant pour Poutine.

Le dimanche 5 Juin, un article de Reuters intitulé La Russie déclare que les États-Unis refusent de discuter de leur système de défense anti missiles, qui explique que «Les États-Unis ont refusé des invitations de la part des Russes de discuter du programme de défense antimissile de Washington, selon le ministre adjoint russe de la Défense, Anatoli Antonov, cité ce dimanche, et qualifiant l’initiative de très dangereuse».

La préoccupation de la Russie est que si le Ballistic Missile Defense, ou système anti-missiles balistiques, que les États-Unis sont en train d’installer à proximité des frontières russes fonctionne, les États-Unis seront en mesure de lancer une attaque nucléaire surprise contre la Russie. Et ce système, en développement depuis des décennies et techniquement appelé système de défense antimissile terrestre Aegis, anéantira les missiles que la Russie lancera en représailles. Cela  laissera la Russie sans capacité de représailles du tout,(...)

Cette théorie d’une guerre nucléaire gagnable (qui aux États-Unis semble remplacer la théorie précédente, appelée MAD, acronyme pour Destruction Mutuelle Assurée) a d’abord été présentée en 2006 dans la prestigieuse revue américaine Foreign Affairs, sous le titre Augmenter la supériorité nucléaire.
Cet article plaide pour une politique américaine stratégique beaucoup plus audacieuse contre la Russie, sur la base d’une prétendue supériorité technologique de l’Amérique contre l’armement de la Russie mais dans une fenêtre de temps limité, dont les États-Unis doivent profiter avant que la Russie ne les rattrape et que la possibilité d’une telle action ne disparaisse.

Paul Craig Roberts a été le premier journaliste occidental à soutenir les préoccupations russes sur le fait que Barack Obama puisse être un adepte de cette théorie. L’un des premiers articles de Roberts sur ce sujet a été publié le 17 juin 2014 et intitulé Washington bat les tambours de la guerre. Il y observe que «la doctrine de guerre des États-Unis a été modifiée. Les armes nucléaires américaines ne sont plus limitées à une force de rétorsion, mais ont été élevées au niveau d’une attaque nucléaire préventive.»

Le président russe Vladimir Poutine a essayé plusieurs fois de soulever cette question avec le président Obama, la plus récente étant la déclaration publique de son inquiétude, le 27 mai dernier. Apparemment, la déclaration publique d’Antonov le 5 juin est le prolongement de cet effort, quand il déclare qu’Obama refuse maintenant explicitement de discuter des préoccupations de Poutine sur la question.

Le fait que ces efforts de la part du gouvernement russe se fassent par l’intermédiaire des médias publics, plutôt que par des conversations privées (moyens qui avaient été utilisés au cours de la crise des missiles cubains en 1962, lorsque, à l’inverse, c’était le président des États-Unis qui était préoccupé par l’installation de missiles nucléaires soviétiques à 90 miles de la frontière des États-Unis) suggère que M. Obama, contrairement au président américain John Fitzgerald Kennedy, refuse de communiquer avec la Russie, maintenant que les États-Unis sont potentiellement dans la position de l’agresseur.

La Russie se prépare, uniquement au cas où elle serait obligée (à cause du système Aegis terrestre) d’être la première à attaquer. Cependant, certaines personnes bien informées sur le sujet, disent que la Russie ne frappera jamais la première(...)

Eric Zuesse

Article original en anglais : Obama Slams Door in Putin’s Face: Says If Putin Doesn’t Want Russia’s Retaliatory Forces Eliminated, He’ll Need to Be the One to Press the Nuclear Button First

Traduit par Wayan, relu par nadine pour le Saker Francophone

source: http://www.mondialisation.ca/obama-claque-la-porte-au-nez-de-poutine/5530455

 

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Interactions with an Oriental Orthodox Bishop: An Eastern Orthodox Experience

by ORTHODOXY COGNATE PAGE on JUNE 13, 2016

in FEATURED NEWSNEWS

 

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Presvytera Seraphima Shagoury (Delegate & Chief Coordinator of OCP Foundation in North America) – OCP News Service – 13/6/16

Reflections on Metropolitan Mar Yulios’s Words During His Tour

I first met – with much excitement – His Grace Mar Geevarghse Yulios Pulikottil (Metropolitan of the Ahmadabad Diocese of the Indian Orthodox Malankara Church) at the home of Mr. Alex Alexander, Garland TX., 2 weeks ago during the Dallas leg of his USA tour. Although I had visited the St. George Indian Orthodox Church in Irving, TX; I was still an Eastern Orthodox just scratching the surface of our relations with Oriental Orthodox Churches worldwide, but the Lord graciously rewarded me again with another, wider, more brilliant view of same industrious, colorful, prolific and apostolic work of the Oriental Orthodox in India.

Upon asking him about his current project, he replied that the schooling system in his Diocese is, and remains key as both educational and moral guiding force for children of Believers and non-Believers alike. As an American, I was immediately amazed at such a feat, since his Diocese is so ironically buttressed up against the traditionally volatile, neighboring Pakistan and its Muslim population.

“Is it safe?” I asked. “There are relatively very few problems – maybe only once in a while, and not for long at all”, he replied. “The people value the school, despite the fact, out of our 44,000 attendees, only 500 children are Orthodox.” “And the rest are Hindu and Muslim?” “Yes – and all say the Lord’s Prayer before their classes begin, led by their teacher, so, all come into contact with Christian values as well as a good education.” This indeed took my breath away, making me wonder what a country as vast as the USA could do if all Orthodox united to become a guiding light for youth despite our own challenges being surrounded by an increasingly secularized society.

I spent a short while more in cordial conversation with His Grace before having to leave,and asked him, “since you have such success with relations between Orthodox and Unbelievers in your part of the world, could you share with us the secret to dialogue with people of other faiths?” His Grace related a charming story about a Hindu boy who worked selling oranges on a busy street, and what happened the day the boy lost his source of income and nearly his life in the road. A Christian acting as a Good Samaritan came to console the boy and restore what was ruined so that the boy could still provide for his family. It was said that the boy immediately looked at him and eagerly asked “Are You Christ?”

“This,” Mar Yulios said, “is all that is necessary. To help others in time of need when they are hurting, and not to proselytize; then their eyes will be opened to the love of Christ.”

Upon my departure from Mr. Alexander’s house, I was warmly welcomed to attend the Liturgy at St. Thomas Indian Orthodox Church, Stafford, TX, the following weekend, since I was leaving to visit my mother in Houston. His Grace also invited me to say a few words at the parish about George Alexander’s new book “The Orthodox Dilemma“, and hoped to have time to go with me on a visit to my mom to bless her in the hospital.

This was indeed such an honor, and in Stafford, His Grace gave the sermon for the Liturgy, capitalizing on aspects of our stewardship on earth, and how to avoid wastefulness in a country as blessed as the USA is in resources. Care of the environment, he said, is also part of the wider scope of man’s daily life praising God, and honoring that which God has given us dominion over. For a moment, I even thought His Grace was reflecting the same words of “my” Patriarch, Bartholomew of Constantinople, the “Green Patriarch.” Yet it was in a refreshing and expressive new way, just like the Indian Orthodox Liturgy itself.

His Grace’s visit to my mother was loving and simple and radiant. I am a convert to Orthodoxy from 28 years ago, and my mother could never reconcile herself to study more about the divisions between East and West once I converted. But fortunately, I began Baptized Christian life with a Godfather who was a close friend of hers — a ship’s Captain from Mumbai, and my mother acquired quite a fondness for Indian culture through him. I introduced her to His Grace and told her “not to be scared” I could see my Roman Catholic mother’s eyes become clear and focused, despite being paralyzed and almost dumb from her 3 recent strokes.

His Grace visited, prayed and comforted her at her bedside. And after His Grace left, I could hear her struggling to whisper, “Who was that was just here?” I smiled and thanked God for such a Good Samaritan that had accompanied my mother briefly on what her doctors say is the very last leg of her journey in mortal life.

I urge my fellow Eastern Orthodox and all Orthodox Christians reading this article to take heart, have Faith, pray and act as a result of my visit with Mar Yulios. Reach out to your fellow Eastern and Oriental Orthodox Christians each day with hope and love of God, taking comfort that the Church Christ originally began is with you and praying for you!

If you’re still in doubt of this – take a walk down the street to your local Oriental or Eastern Orthodox Church; take part in their local festivals – talk to their people…… for you will find a treasure-box of wonders wrought by the Holy Spirit that can be yours. Christ will indeed take your breath away too, as you explore the possibilities of union with these “undiscovered countries” of Churches, silently waiting for you in your own back yard. :)

Source:
OCP News Service

 

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CODE DU CHEVALIER DES "TEMPS MODERNES"

(10/10)

En tant que chevalier, tu crois en des valeurs et tu considères qu’elles sont le combat de ta vie. Quand il est dit : « Tu défendras la veuve et l’orphelin », le chevalier en fait automatiquement son objectif de vie. L’Église aussi a ses valeurs, qui sont pleinement adaptées à la noblesse d’âme du chevalier. Comme lui, elle est tournée d’abord vers les plus fragiles, c’est ce qu’on appelle en sociologie « l’option préférentielle pour les pauvres ». C’est donc le rôle du chevalier que de s’y conformer et de donner sa vie pour les autres et pour sa mère l’Église.Tu croiras à tout ce qu’enseigne l’Église et observeras tous ses "commandements"

Le chevalier ne doit pas recevoir les commandements de l’Église comme extérieurs à lui-même. Ils sont déjà bien présents au plus profond de lui et se révèlent dans l’obéissance. De la sorte, à aucun moment il ne subit les règles émanant de l’Église. Tout au contraire, il les vit et les incarne pleinement. Les règles sont un cadre, tel un peintre qui se fixe pour limites les bords de sa toile afin de donner libre cours à son inspiration en son centre. Le chevalier perçoit le cadre de l’Église comme un outil lui permettant de placer les fondements de sa liberté.

Obéir (ob-audire) dans la foi, c’est se soumettre librement à la parole écoutée, parce que sa vérité est garantie par Dieu, la Vérité même. De cette obéissance, Abraham est le modèle que nous propose l’Écriture Sainte. La Vierge Marie en est la réalisation la plus parfaite.
Catéchisme de l’Église catholique chap 3, article 1, 144

Voilà pourquoi notre chevalier doit obéir à son Église. Beaucoup voient l’enseignement de l’Église comme un amoncellement de permissions et d’interdictions. Il n’est pas question de s’exécuter de manière servile, mais au contraire de faire preuve d’obéissance filiale, comme envers sa propre mère, parce que chacun sait qu’elle ne nous veut que du bien. Dans son rapport à la loi, saint Paul distingue ceux qui vont la vivre de manière servile comme des esclaves et ceux qui vont la vivre comme des fils. Ce dernier à accès à l’héritage, pas l’autre.

Pour atteindre cet état de fait, il est d’abord essentiel de comprendre les règles comme l’enseigne saint Augustin : « Croire pour comprendre et comprendre pour croire ».  Quand une mère dit à son enfant d’éloigner sa main de la flamme, ce dernier doit parfois faire l’expérience de la brûlure pour comprendre une fois pour toute la justesse de la bienveillance maternelle.

Comprendre les enseignements de l’Église impose aussi de s’affranchir de ses idées reçues pour se former dans les textes et auprès des vrais hommes de foi ; seule voie valable pour prendre conscience de la sagesse de la spiritualité catholique. L’essentiel se manifeste alors dans l’esprit du chevalier : respecter les plus pauvres et les protéger, l’un des premiers commandements chevaleresque.

« Maître, dans la Loi, quel est le grand commandement ? »
Jésus lui répondit : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. Voilà le grand, le premier commandement. Et le second lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépend toute la Loi, ainsi que les Prophètes ».
(Mt 22, 36-40)

Lorsqu’un pharisien demande à Jésus : « Quel est le grand commandement ? », le pharisien n’en demande qu’un seul, pourtant Jésus lui répond par deux commandements. En réalité, ils ne font qu’un, car « aimer ton prochain » c’est « aimer Dieu ». Jésus ne dit-Il pas : « Le second lui est semblable ? ». Donc le premier commandement du chevalier est : « Tu aimeras ton Dieu et ton prochain de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit ». Viennent ensuite les cinq préceptes de l’Église tels qu’ils sont présentés dans le Catéchisme de l’Église catholique (CEC) :

Le premier commandement : « Les dimanches et les autres jours de fête de précepte, les fidèles sont tenus par l’obligation de participer à la Sainte Messe et de s’abstenir des œuvres serviles ». Ce commandement enjoint aux fidèles de sanctifier le jour où l’on commémore la Résurrection du Seigneur, ainsi que les principales fêtes liturgiques où l’on honore les mystères du Seigneur, de la Bienheureuse Vierge Marie et des Saints, avant tout en participant à la célébration eucharistique qui rassemble la Communauté chrétienne, et de se libérer de tous ces travaux et de ces affaires qui sont de nature à empêcher la sanctification de ces jours.

Le deuxième commandement : « Tout fidèle est tenu par l’obligation de confesser ses péchés au moins une fois par an ». Il est proposé de se préparer ainsi à l’Eucharistie par la réception du sacrement de la Réconciliation, qui continue l’œuvre de conversion et de pardon du Baptême.

Le troisième commandement : « Tout fidèle est tenu par l’obligation de recevoir la Sainte Communion au moins chaque année à Pâques ». Il garantit un minimum dans la réception du Corps et du Sang du Seigneur en liaison avec les fêtes Pascales : origine et centre de la liturgie chrétienne.

Le quatrième commandement : « Aux jours de pénitence fixés par l’Église, les fidèles sont tenus par l’obligation de s’abstenir de viande et d’observer le jeûne ». Ce commandement assure des temps d’ascèse et de pénitence qui nous préparent aux fêtes liturgiques et nous disposent à acquérir la maîtrise sur nos instincts et la liberté du cœur.

Le cinquième commandement « Les fidèles sont tenus par l’obligation de subvenir aux besoins de l’Église », énonce que les fidèles sont tenus de subvenir aux nécessités matérielles de l’Église, chacun selon ses possibilités.

(CEC 2014-2043)

Le chevalier doit par ailleurs poser un acte afin de marquer son obéissance : comme avec sa femme, chacun peut répéter « je t’aime », mais s’il ne manifeste pas son amour par des actes, ses mots n’ont aucune valeur. L’acte le plus démonstratif du chevalier envers son Église est sans aucun doute le sacrement du baptême, par lequel nous prêtons serment. Par la communion et la confirmation, chacun est amené à renouveler cet engagement en toute conscience. Le chevalier doit manifester son attachement à l’Église en se mobilisant : en se mettant au service des plus pauvres, en se formant, en rendant un quelconque service, le chevalier pose alors une preuve concrète de sa confiance.

En désobéissant le chevalier court le risque de s’isoler et de tomber dans le subjectivisme en suivant ses propres buts. Il devient de facto un chevalier errant, esclave de sa vanité. Le chevalier doit se prémunir de cet écueil en veillant à vivre concrètement les valeurs qu’il défend. Les scouts appellent cela « l’unité de vie »: ce que je pense et ce que je réalise ne doivent faire qu’un.

 

L’obéissance filiale revient à œuvrer pour son bien et au nom de l’amour que l’on porte à l’autre. Dans un tel rapport, nous nous oublions et ne faisons plus qu’un avec lui et sa volonté. Tels les hoplites grecs qui font corps, conscients que de leur obéissance dépend la survie du groupe tout entier. Dès lors le chevalier contribue au principe d’Unité si cher au Christ. Uni avec lui-même, uni avec les autres, uni avec l’Église, uni avec le Christ, le chevalier est alors conscient qu’il peut soulever des montagnes.(Source Aleteia)

 

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Le sujet est terrible et démontre quelle folie

 

peut atteindre l’espèce humaine quand

 

on la laisse à ses plus

 

bas instincts.

homme_chien

 

La culture de mort a ouvert la boite de pandore des passions déréglées et légiférées par les États permissifs: de l’avortement, aux mœurs contre-nature, au gender et aux trans, l’homme se croit tout permis et se vautre dans la permissivité la plus totale. Quand l’homme fait la bête, il devient pire qu’une bête !

Si le chien est le meilleur ami de l’homme, quel moyen meilleur pour devenir ami d’un homme que de se travestir en chien ? C’est ce qui doit peut-être traverser la tête des membres d’une communauté du Royaume-Uni qui compte 10 000 sympathisants, qui aiment se travestir et se comporter comme des chiens. Ces hommes-chiens se croient des animaux, remuent de la queue pour recevoir des caresses de leur maître, pour se faire donner à manger dans une gamelle, se promènent à quatre pattes dans les rues de la ville en faisant semblant d’uriner contre un poteau, sont tenus en laisse, grognent quand ils sentent un danger, et assument toutes les attitudes que Milou connaît si bien.  Avec un de plus, mais de taille, que le chien ne connaît pas, des rapports contre-nature avec leur maître !

La plupart de ces cynophiles extrêmes proviennent en effet de la communauté homosexuelle. Ils le disent, le revendiquent comme ils prétendent aujourd’hui qu’on leur reconnaisse leur nouvelle identité d’espèce ! Tom, l’un de ces hommes-chiens, explique qu’il se sent « comme peut se sentir un gay, un hétéro, un trans, et être accepté. Tout ce que je veux c’est que la communauté des chiens soit acceptée de la même manière. Nous ne sommes pas entrain d’essayer de causer de la douleur au autres, ou de causer de la douleur aux rapports sociaux. Nous sommes seulement comme une quelconque autre personne dans la rue. »

A nier la réalité des sexes, on passe sans problèmes à la négation de l’identité : toujours plus en avant dans cette idéologie « trans » destructrice qui veut construire une humanité nouvelle affranchie des lois naturelles, physiques et biologiques, affranchie de la réalité, et soumise totalement à l’imagination perverse et aux sens débridés. Apothéose de l’évolutionnisme darwinien qui fait descendre l’homme du singe dans son arbre pour retourner aujourd’hui à l’état de bête, chien, chat ou singe !

Quand l’homme fait la bête, il devient pire que la bête: ce n’est pas Attention au chien qu’il faut écrire sur les panneaux mais Attention à l’homme !  

Francesca de Villasmundo


(Source: M.P.I  /  http://www.medias-presse.info/du-transgenre-au-transespece-quand-lhomme-fait-la-bete/56263#D7SIq2HI2O3LyHFH.99)

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L’Eglise orthodoxe russe propose de reporter le Concile panorthodoxe

 

L’Eglise orthodoxe russe propose de reporter le Concile panorthodoxe

 

on 13 June 2016

 

Le Saint-Synode de l’Eglise orthodoxe a décidé de proposer le report du Concile panorthodoxe, a informé Mgr Hilarion lors de la conférence de presse à l’issue de la session extraordinaire qui s’est tenue aujourd’hui à Moscou. La raison en est le refus d’un certain nombre d’Églises de participer au prochain Concile panorthodoxe et des documents et un Règlement du Concile pas suffisamment élaborés, a précisé le chef du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou. “Nous ne serons pas en mesure de participer au Conseil panorthodoxe… nous demanderons de le reporter” – a déclaré le métropolite Hilarion.

Source

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L’ONG Médecins du Monde aurait dû lancer une campagne choc, ce lundi 13 juin choc contre le prix de certains médicaments. Mais il n’en sera rien, elle a été “bloquée” par l’Autorité professionnelle de régulation de la publicité (ARPP) qui juge qu’elle pourrait nuire aux laboratoires pharmaceutiques.
Et si dans un futur très proche, les laboratoires pharmaceutiques n’avaient plus besoin de faire pression ou d’exercer un lobbying assidu pour éviter que l’on ne plonge le nez dans leurs bilans financiers ? Eh bien ce futur est peut-être encore plus proche qu’on le croit.

L’ONG Médecins du Monde (MDM) aurait dû, en théorie, lancer une grande campagne d’affichage, ce lundi 13 juin, pour dénoncer le prix prohibitifs de certains médicaments contre des maladies comme l’hépatite C, le mélanome ou la leucémie. Une campagne “choc” comme l’ont signalé plusieurs médias lundi matin.

Mais il n’en sera rien. Tout simplement car aucun diffuseur n’a voulu prendre le risque de l’afficher – et par extension de se fâcher éventuellement avec un grand laboratoire. Tel est l’extrait du “conseil” transmis par l’ l’Autorité professionnelle de régulation de la publicité(ARPP) à la société Médiatransports, que nous nous sommes procuré.


Le zèle de l’ARPP...........

 

 

 

 
 

Campagne choc de Médecins du Monde contre les médicaments trop chers

Médecins du Monde lance lundi une campagne d'affichage qui dénonce les marges des laboratoires pharmaceutiques.

Une campagne choc et une pétition contre les prix "révoltants" des médicaments pour soigner notamment le cancer et l'hépatite C, sont lancées lundi par Médecins du Monde (MdM) qui appelle le gouvernement à prendre ses responsabilités afin de permettre l'accès de tous aux traitements.
Source et pour lire la suite

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People light candles during a vigil in Dallas, Texas, on June 12, 2016, for victims of the attack at Orlando's Pulse Nightclub in Orlando, Florida.
Fifty people died when a gunman allegedly inspired by the Islamic State group opened fire inside a gay nightclub in Florida, in the worst terror attack on US soil since September 11, 2001. / AFP PHOTO / Laura Buckman

Prions pour les victimes et leurs 

 

bourreaux avec une prière inspirée* de 

 

St Ephrem

 

le Syrien à Marie

 

 

 

O Marie, notre Médiatrice,


C’est en vous que le genre humain met toute sa joie.


Il attend votre protection.


En vous seule il trouve son refuge. (Nous vous confions

 

les pauvres fils et filles d'une humanité qui s'égare en

 

écoutant la voix de Satan, le diviseur, l’ennemi du genre

 

humain.

Tous ces fils et filles, Ô mère, sont vôtres, le Verbe

 

prenant chair se les ait unis lorsque, par votre

 

acquiescement et sous la force du Saint Esprit, vous lui

 

transmîtes notre humanité.

 

 

Intercédez pour chacun d'eux pour qu’ils rencontrent, par

 

la lumière du St Esprit, votre Fils, le Prince de la paix,

 

vrai Dieu et vrai homme ...) 


Et voici que, moi aussi, je viens vers vous avec toute ma

 

ferveur, car (en raison de ma misère) je n’ai pas le

 

courage d’approcher votre Fils : aussi j’implore votre

 

intercession pour obtenir mon salut.

 


O vous qui êtes compatissante,


O vous qui êtes la Mère du Dieu de miséricorde, ayez

 

pitié de moi. (Ayez pitié des victimes de tous les

 

massacres et de leurs bourreaux, poursuivez-les de votre

 

amour compatissant, accompagnez-les afin qu'ils trouvent

 

le Chemin du bonheur et de la paix, le Christ Notre-

 

Seigneur qui les conduira au Père par la lumière, le feu

 

et la force du St Esprit) 

 

 

Amîn.

 

 

 

 

*Ce qui est entre parenthèse est du claviste

 

 

Les Forces de l’ordre américaines ont interpellé un prédicateur de l’islam radical qui aurait inspiré Omar Mateen, l’homme à l’origine de la tuerie d’Orlando.

Suite à l'attaque qui a fait au total 49 morts au Pulse, une boîte gay d'Orlando (sud-est des Etats-Unis), la police fédérale a interpellé Marcus Dwayne Robertson, un prédicateur de l'islam fondamentaliste, ainsi que plusieurs de ses adeptes.

"Tout ce qui s'est passé à Orlando ne relève pas du hasard. Omar Mateen s'était inscrit à un séminaire organisé par Marcus Robertson", souligne une source anonyme au sein du FBI, citée par la chaîne américaine Fox News.

 

D'après la chaîne, Robertson, qui a fait son service militaire dans les rangs de l'US Navy, était connu comme le meneur d'un gang new-yorkais spécialisé dans le braquage de banques. Il a passé quatre ans dans une prison de Floride pour port d'armes illégal et n'a été libéré qu'il y a un an.

 

Dimanche matin, Omar Mateen, un Américain d'origine afghane né en 1986, s'est introduit dans un club gay très fréquenté d'Orlando, où il a fait feu et pris des personnes en otages pendant plusieurs heures avant l'intervention des forces spéciales de la police locale, qui l'ont abattu.

 

Mateen avait fait allégeance au groupe Etat islamique lors d'un appel au numéro des urgences 911 alors qu'il avait déjà commencé son attaque.

 

De son côté, le groupe djihadiste Etat islamique (EI) a revendiqué lundi la fusillade commise par "un soldat du califat"

Outre les 49 morts, la fusillade a fait plus de 50 blessés, dont certains dans un état grave.

source

 

La télévision espagnole TVE

a diffusé une caricature montrant 

une croix transformée en arme

orlando-tve-croix

pour illustrer la

fusillade d’Orlando menée par un islamiste

contre une discothèque

pour homosexuels !!!...

 

 

La fusillade a été commise par Omar Mateen Sadiqqi que l’Etat Islamique a salué comme « un soldat du califat ».

 

orlando-revendication-ei-arabe

 

orlando-revendication-amaq-ei

 

Mais à la fin du journal télévisé de Television Espanola, chaîne de télévision qui vit exclusivement des impôts des Espagnols, ce sont les catholiques qui ont été pointés du doigt par cette caricature.

Bel exemple de désinformation teinté d’antichristianisme.

L’affaire a suscité une telle controverse que la TVE a fini par présenter des excuses pour ce dessin. 

 

Commentant le massacre dans le club gay d’Orlando, le journal islamiste pro-Erdogan Yeni Akit a qualifié les victimes de la tragédie de « pervers » et d’ »handicapés ». Le journal turc Yeni Akit a publié dimanche un article sur la tuerie d’Orlando, l’intitulant « Le nombre de victimes dans le bar de pervers-homosexuels s’alourdit à 50! », rapporte le quotidien britannique Daily Mail.

Ce titre a indigné les internautes non seulement en raison du mot employé, mais aussi du point d’exclamation qui couronne la phrase, traduisant la volonté du journal de saluer l’attentat.

Cette publication de Yeni Akit n’est pas vraiment surprenante. Le journal est connu pour ses articles incitant à la haine contre différents groupes minoritaires, en particulier, la communauté LGBT, ainsi que contre les juifs, les Arméniens et les chrétiens. Lors de recherches, le think tank turc Hrant Dink Foundation a découvert 175 articles du même caractère publiés par le quotidien en 2013.

Mais l’affaire est en outre lourde d’enseignements sur l’élite turque actuelle. Sur fond de durcissement de la politique des autorités turques vis-à-vis la presse, la politique éditoriale des médias non persécutés, tels que Yeni Akit, exprime en fait le point de vue des représentants du régime au pouvoir.
Une fusillade a éclaté dans la nuit du 11 au 12 juin dans le night-club gay Pulse d’Orlando, en Floride. Selon le maire d’Orlando, Buddy Dyer, la tuerie a fait 50 morts et 53 blessés. Plusieurs personnes sont dans un état critique. La police a tué le tireur lors d’un échange de tirs. Une trentaine d’otages ont été libérés. Il s’agit d’une des pires fusillades de l’histoire des Etats-Unis.


(Source: http://www.medias-presse.info/la-television-espagnole-utilise-une-caricature-antichretienne-pour-illustrer-la-fusillade-dorlando-commise-par-un-islamiste/56241#FseaQG39rfUEtkUx.99)

===

Le commandant Jean-Baptiste Salvaing, âgé de 42 ans, était chef adjoint de la Police judiciaire au commissariat des Mureaux. Il était auparavant en poste au commissariat de Mantes-la-Jolie. Sa compagne retrouvée morte après avoir été prise en otage était également fonctionnaire au commissariat de police des Mureaux.

 

0h24 : L’agresseur aurait crié « Allah Akbhar » (Dieu est le plus grand, en arabe), selon les policiers qui ont donné l’assaut.

0h21 : Selon le procureur de la République, le corps de la femme retrouvée est très probablement celui de l’épouse du policier tué, Jean-Baptiste Salvaing. L’enfant de trois ans, son fils, va bien et a été emmené.

0h20 : Le « bilan est lourd », selon le porte-parole du ministère de l’Intérieur: outre le policier et son meurtrier, « le cadavre d’une femme a été découvert. En revanche, un petit garçon a été sauvé par le Raid.

0h15 : L’auteur du meurtre d’un policier à Magnanville, dans les Yvelines, a été abattu, selon BFM-TV. Il s’agirait, selon le consultant police-justice de BFM Dominique Rizet, d’un ancien légionnaire.

0h10 : Les forces d’élite de la police nationale donnent l’assaut sur la maison du policier tué, où le suspect, retranché, aurait été « neutralisé »

Source: Le Dauphiné Libéré

 

 

UN MONDE DESESPERANT ?

 

SOUFFRIR AU MONDE...

 

Souffrir au monde

Le monde va-t-il si mal ?

Est-il pire qu’avant ?

Pire que jamais ?

Je voudrais le savoir.

J’éteins tous ces écrans qui font écran à une juste perception des choses.

Et j’ouvre les yeux.

Je dois conduire ma fille chez le docteur.

En salle d’attente, les patients sont patients et leur patience est souriante.

Le docteur nous accueille avec une gentillesse qui est en elle-même le meilleur des remèdes.

Mon cœur déborde doucement de gratitude pour notre humanité, pour ce pays qui soigne mes enfants, pour Dieu d’où provient toute bonté… 

Non, le monde ne va pas si mal.

Sur la route du retour, je ne sais quel incident nous met tous en bouteille.

Le spectacle n’est pas beau : chacun, enfermé dans son air conditionné, avec ce corps de taule que nous font les voitures.

Dans la file devant moi, une vitre s’abaisse, une main molle laisse tomber au sol un paquet de cigarettes vide. Le monde est notre bidonville.

Omniprésents, les déchets disent notre déchéance, morale et spirituelle. Je fonds à nouveau, mais à l’envers. 

Je me consume de désespoir.

Mais alors, le monde va-t-il si mal ?

Le diagnostic est impossible.

Il y a le mystère du bien.

Il y a celui du mal.

Le geste qui soigne et l’indifférence crasse.

Entre les deux, il n’y a pas de commune mesure. 

Le monde balance entre le Tout du bien et le Rien du mal. 

Ce n’est pas l’un ou l’autre, mais l’un et l’autre.

 

Or cette absence de savoir définitif sur l’état du monde a sa fécondité. Puisque nous ne savons pas si ce monde autorise qu’on désespère de lui ou s’il se prête à notre enthousiasme, chacun est invité à une double disponibilité :

s’ouvrir au bien qui s’offre ;

souffrir du mal qui blesse.

 

Tout le reste, optimisme naïf ou pessimisme raffiné, vient du démon.

Martin Steffens

 

 

 

UN MONDE DESESPERANT ?

 

SOUFFRIR AU MONDE...

 

Souffrir au monde

Le monde va-t-il si mal ?

Est-il pire qu’avant ?

Pire que jamais ?

Je voudrais le savoir.

J’éteins tous ces écrans qui font écran à une juste perception des choses.

Et j’ouvre les yeux.

Je dois conduire ma fille chez le docteur.

En salle d’attente, les patients sont patients et leur patience est souriante.

Le docteur nous accueille avec une gentillesse qui est en elle-même le meilleur des remèdes.

Mon cœur déborde doucement de gratitude pour notre humanité, pour ce pays qui soigne mes enfants, pour Dieu d’où provient toute bonté… 

Non, le monde ne va pas si mal.

Sur la route du retour, je ne sais quel incident nous met tous en bouteille.

Le spectacle n’est pas beau : chacun, enfermé dans son air conditionné, avec ce corps de taule que nous font les voitures.

Dans la file devant moi, une vitre s’abaisse, une main molle laisse tomber au sol un paquet de cigarettes vide. Le monde est notre bidonville.

Omniprésents, les déchets disent notre déchéance, morale et spirituelle. Je fonds à nouveau, mais à l’envers. 

Je me consume de désespoir.

Mais alors, le monde va-t-il si mal ?

Le diagnostic est impossible.

Il y a le mystère du bien.

Il y a celui du mal.

Le geste qui soigne et l’indifférence crasse.

Entre les deux, il n’y a pas de commune mesure. 

Le monde balance entre le Tout du bien et le Rien du mal. 

Ce n’est pas l’un ou l’autre, mais l’un et l’autre.

 

Or cette absence de savoir définitif sur l’état du monde a sa fécondité. Puisque nous ne savons pas si ce monde autorise qu’on désespère de lui ou s’il se prête à notre enthousiasme, chacun est invité à une double disponibilité :

s’ouvrir au bien qui s’offre ;

souffrir du mal qui blesse.

 

Tout le reste, optimisme naïf ou pessimisme raffiné, vient du démon.

Martin Steffens

Souffrir au monde

Le monde va-t-il si mal ? Est-il pire qu’avant ? Pire que jamais ? Je voudrais le savoir. J’éteins tous ces écrans qui font écran à une juste perception des choses. Et j’ouvre les yeux.

Je dois conduire ma fille chez le docteur. En salle d’attente, les patients sont patients et leur patience est souriante. Le docteur nous accueille avec une gentillesse qui est en elle-même le meilleur des remèdes. Mon cœur déborde doucement de gratitude pour notre humanité, pour ce pays qui soigne mes enfants, pour Dieu d’où provient toute bonté… Non, le monde ne va pas si mal.

Sur la route du retour, je ne sais quel incident nous met tous en bouteille. Le spectacle n’est pas beau : chacun, enfermé dans son air conditionné, avec ce corps de taule que nous font les voitures. Dans la file devant moi, une vitre s’abaisse, une main molle laisse tomber au sol un paquet de cigarettes vide. Le monde est notre bidonville. Omniprésents, les déchets disent notre déchéance, morale et spirituelle. Je fonds à nouveau, mais à l’envers. Je me consume de désespoir.

Mais alors, le monde va-t-il si mal ? Le diagnostic est impossible. Il y a le mystère du bien. Il y a celui du mal. Le geste qui soigne et l’indifférence crasse. Entre les deux, il n’y a pas de commune mesure. Le monde balance entre le Tout du bien et le Rien du mal. Ce n’est pas l’un ou l’autre, mais l’un et l’autre.

Or cette absence de savoir définitif sur l’état du monde a sa fécondité. Puisque nous ne savons pas si ce monde autorise qu’on désespère de lui ou s’il se prête à notre enthousiasme, chacun est invité à une double disponibilité : s’ouvrir au bien qui s’offre ; souffrir du mal qui blesse.

Tout le reste, optimisme naïf ou pessimisme raffiné, vient du démon.

Martin Steffens

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 5,43-48.

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Vous avez appris qu’il a été dit : ‘Tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi’. 
Eh bien ! moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persécutent, 
afin d’être vraiment les fils de votre Père qui est aux cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, il fait tomber la pluie sur les justes et sur les injustes. 
En effet, si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous ? Les publicains eux-mêmes n’en font-ils pas autant ? 
Et si vous ne saluez que vos frères, que faites-vous d’extraordinaire ? Les païens eux-mêmes n’en font-ils pas autant ? 
Vous donc, vous serez parfaits comme votre Père céleste est parfait. » 
 





Par Saint Augustin

(354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église 
Commentaire sur la 1ère lettre de saint Jean, n°1,9 ; SC 75 (trad. SC ,p. 134 ; Bouchet, Lectionnaire, p. 291) 

« Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait »

 

      « À ce signe nous reconnaissons que nous sommes en Dieu : si en lui nous sommes parfaits. »

Jean veut dire ici :

parfaits dans l'amour (1Jn 4,17).

Quelle est la perfection de l'amour ?

D'aimer nos ennemis et de les aimer à ce point qu'ils deviennent nos frères.

Notre amour, en effet, ne doit pas être selon la chair.

Aime donc tes ennemis en souhaitant qu'ils deviennent tes frères ; aime tes ennemis de sorte qu'ils soient appelés à entrer en communion avec toi. 

      Ainsi aima en effet celui qui, pendu sur la croix, disait : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font »

(Lc 23,34).

Il voulait les arracher à la mort éternelle par une prière toute pleine de miséricorde et une puissance très forte.

Nombre d'entre eux ont cru d'ailleurs, et ils ont été pardonnés d'avoir versé le sang du Christ.

Ils l'avaient versé en s'acharnant contre lui ; ils l'ont bu ensuite lorsqu'ils ont cru.

« À ce signe nous savons que nous sommes en lui : si en lui nous sommes parfaits. »

C'est à cette perfection de l'amour des ennemis que le Seigneur nous invite lorsqu'il dit :

« Soyez donc parfaits comme votre Père céleste est parfait. »

 

 

MARDI 14 JUIN 2016/ELÉMENTS POUR MÉDITER, RÉFLÉCHIR, PRIER ET MIEUX AGIR :
PEUT-ON SE PASSER DE DIEU ?
Bonne question ! –

Presque chaque mois, en France, dans une revue ou une autre, un journal ou l’autre, un article reflète la préoccupation contemporaine à l’égard de Dieu. On pourrait faire le recensement de tous les articles ou dossiers publiés au cours de cette année, qui n’est d’ailleurs pas finie ! C’est ainsi que le Nouvel Observateur du mois d’août dernier a eu comme titre parmi d’autres : « Peut-on se passer de Dieu ? »

« Théodépendance »

Les hommes cultivent bien des dieux et des divinités dont ils ne pourraient se passer. Ils ne peuvent se passer de dieu, d’un dieu, une de ces idoles auxquelles ils consacrent le meilleur d’eux-mêmes : des bonnes divinités comme l’art, la science, l’engagement politique et social, ou un passe-temps quelconque – et des divinités plus inquiétantes comme la drogue, la jugement d’autrui, toutes sortes de dépendances dont l’être humain ne peut plus se passer. « Plutôt mourir que me passer de télé », disait quelqu’un… Le dieu suprême de notre civilisation est le Plaisir, comme l’ont déjà dit Nerval et Baudelaire, divinité tyrannique et insatiable. Derrière tout cela, il y a souvent la divinité du « moi » : celui-ci ne rêve que d’être un dieu ou une déesse pour les autres, et de cette chimère non plus il ne peut se passer. La religion elle-même est quelquefois l’idole de nombreux qui croient croire… Toute personne rencontrée, nous pouvons nous interroger à son sujet : quel est son dieu ? Quelle est son idole ? Le moraliste La Bruyère montre dans les Caractères l’être humain asservi à ses dieux. Nous ne vivons pas dans un monde athée ; nous vivons dans un polythéisme de fait ; et, d’un dieu avec un petitd, l’homme ne peut se passer.

La grande indifférence

En revanche, Dieu, le Seigneur du ciel et de la terre et tout ce qu’ils renferment, nous nous en passons souvent fort bien. Toute notre vie, même chez nous les chrétiens, s’organise souvent sans lui. Nombreux ceux qui vivent ainsi, dans l’indifférence totale à l’existence d’une telle réalité, à plus forte raison d’une telle personne. Se passer de Dieu consiste à ne jamais rien lui demander, à ne jamais tenir compte de son avis, à organiser toute notre vie comme s’Il ne s’était jamais exprimé dans la Bible, par exemple, ou à travers l’exemple des saints ; à ne jamais rien faire pour lui, ou bien seulement de temps en temps. Soit il n’y a pas de Dieu, et, selon Diderot, cette pensée n’effraye personne ; soit il y en a un, mais c’est comme s’il n’y avait « personne », cela ne change rigoureusement rien à notre comportement, à notre pensée, à nos choix de vie ; et tout va bien comme cela. Certains s’en flattent : ma religion est la meilleure – je ne prie pas, je ne fais pas de carême, je ne vais pas à l’église, et je vais très bien ! Cela n’empêche pas le monde de tourner ! En fait, Dieu, s’Il existe, n’a aucune espèce d’importance, et l’être humain vit, ou croit vivre, très bien ainsi, puisqu’il a les autres divinités, surtout lui-même, à qui il passe tout, dont il fait tous les caprices, et à qui il sacrifie volontiers les autres : moi d’abord, les autres ensuite ! Et même, pour reprendre une problématique déjà évoquée, parmi ceux qui servent les autres, les philanthropes, les caritatifs, nombreux vous diront qu’ils se passent très bien de Dieu. On s’en passe parce qu’on ne le connaît pas. On l’ignore par ignorance !

Le Bien-aimé

C’est peut-être, en fait, une bonne nouvelle que l’être humain ne soit pas dans la dépendance, l’asservissement à Dieu, alors qu’il l’est aux dieux. Le lien avec Dieu n’est pas de type addictif. Si la religion a ses idoles et ses sous-produits, si elle a ses dépendants, la religion véritable est celle de la liberté, celle qu’Adam connut au Paradis. Le projet initial était bien celui d’un dialogue divino humain fondé, non sur le besoin ou la dépendance, mais sur l’émerveillement mutuel, la confiance et l’amour. Relisons les Confessions d’Augustin… Celui ou celle qui a trouvé l’amour de sa vie ne peut plus se passer de cette personne. Celui qui a rencontré le Christ, le Dieu vivant, le Dieu-Homme, ne veut plus vivre sans lui. Tant qu’il ne le connaissait pas, il vivait sans lui et sans savoir de quel bonheur il était privé. Maintenant qu’il le connaît, il ne veut plus, ne peut plus lâcher la main du Dieu de miséricorde ; il ne peut plus se priver de la Sagesse en personne. Selon les saints Pères, il est une affinité naturelle entre Dieu et l’être humain, un dialogue qui tend naturellement à la communion infinie ; et notre cœur ne peut se lasser de chercher l’union parfaite avec Celui qui nous aime et que nous aimons. Quand nous pouvons, grâce à la Foi et au saint baptême, nous alimenter de sa chair et de son sang, dans l’immense expérience eucharistique, nous disons également que nous ne pouvons plus nous en passer. Plutôt mourir, dit le chrétien, que d’être séparé de Jésus Christ, privé de la communion à son Corps très pur et à son Sang très précieux !

(Source: "Sagesse Orthodoxe")

 

Toujours aucune nouvelle d'eux....Nous espérons...

 

*Rappel des faits:

Le 22 avril 2013, Mgr Yohanna (Jean) Ibrahim, archevêque syriaque orthodoxe d’Alep, et Mgr Boulos (Paul) Yazigi, archevêque grec orthodoxe de la même ville, étaient enlevés à l’ouest d’Alep en Syrie. Les deux évêques s’étaient rendus en voiture,fraternellement, avec un chauffeur, dans cette région pour tenter de négocier la libération de deux prêtres enlevés en février précédent : le Père Michel Kayyal (catholique arménien) le le Père Maher Mahfouz (grec-orthodoxe). C’est l’un des enlèvements les plus étranges en période de guerre puisqu’il n’y a eu aucune revendication. Même les médias ne s’intéressent pas beaucoup à cette affaire, jugée peu sulfureuse et surtout incompréhensible. Pour cette raison, le site Internet grec Pemptousia met en ligne une pétition (en anglais) pour la libération de deux hiérarques. Pour la signer,pétition relayée en France par Orthodoxie.com et nous-même  cliquez ICI !

Merci.

 

 

 

N'oublions-pas de prier pour les évêques, prêtres et

 

fidèles chrétiens détenus par les "islamistes"

 

ou terroristesen tous genres !

 

Prions sans relâche pour que le

 

Seigneur les soutienne. Prions pour leur libération ...

 

  

Let us not forget the bishops, priests and faithful

 

Christians held by "Islamists" or terrorists of all

 

kinds! Pray tirelessly for the Lord to sustain them.

 

Pray for their release ...

 

 

The Lord came to send fire upon the earth (cf. Lk. 12:49), and through participation in this fire He makes divine not just the human substance which He assumed for our sake, but every person who is found worthy of communion with Him. (St. Gregory Palamas)
 

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Programme des prochaines semaines au Monastère Syriaque de la Bienheureuse Vierge Marie, Mère de Miséricorde:

"A person who, knowing what faults he has committed, willingly and with due thankfulness endures the trials painfully inflicted on him as a consequence of these faults, is not exiled from grace or from his state of virtue; for he submits willingly and pays off his debts by accepting the trials. In this way, while remaining in a state of grace and virtue, he pays tribute not only with his enforced sufferings, which have arisen out of the impassioned side of his nature, but also with his mental assent to these sufferings, accepting them as his due on account of his former offenses. Through true worship, by which I mean a humble disposition, he offers to God the correction of his offenses." (St. Maximos the Confessor (The Philokalia Vol. 2; Faber and Faber pg. 285))

Program in the coming weeks

Syriac Monastery of the Blessed Virgin Mary, Mother of Mercy:

 

Lundi 4 JANVIER 2016 / ELÉMENTS POUR MÉDITER, RÉFLÉCHIR, PRIER ET MIEUX AGIR:
 

 

Au Monastère Syriaque de

CHANDAI-BREVILLY (61) :

(Messe tous les dimanches et en

semaine à 10h30.

Petits Pèlerinages sur Semaine

tous les :

*22 et

*29 du mois)

 

 

 

 

 

*Dimanche 3 Juillet:

 

 Pèlerinage mensuel à N-D de Miséricorde

'You have the power to incline either upwards or downwards: choose what is superior and you will bring what is inferior into subjection.' (St. Thalassios the Libyan)

Mère de Miséricorde, priez pour nous, secourez-nous!

et aux Saints du Kerala.

 

 

St Abraham Koorilose Bava,priez pour nous!

10h30, Messe suivie  du repas fraternel,

possibilité de recontrer un prêtre (Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)

 

St Gregorios de Parumala, priez pour nous !

 

Ramassage des fidèles sur

 

*Paris: le Samedi 2 Juillet  à 15 h 

 

au lieu de R.D.V habituel.

 

  

* Sunday, June 5:
  monthly pilgrimage to N-D Mercy and Saints Kerala.
10:30 am Mass followed by a fraternal meal and reception of the faithful.

 

 

 

 

Pèlerinage à Notre-Dame de Miséricorde

 

au Monastère Syriaque 

 

Tous les 1ers Weekend du mois

 

(Ramassage des fidèles de région parisienne chaque samedi précédent le 1er dimanche du mois à 15h )

===

Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,


Brévilly

61300 CHANDAI.

Tel: 02.33.24.79.58

ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonées)

Adresse courriels: asstradsyrfr@laposte.net

 

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Note:

l'Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise

Orthodoxe-Orientale. 

 

Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité

des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien

et la paix du monde.

¤ Permanence pastorale en diverses région de France pour : Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)…

Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil 

des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles , 

nous n'exigeons aucun fixe.

Les offrandes sont libres et non 

obligatoires

Toute offrande fait cependant l'objet d'une 

déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre 

revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F " 

 

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin  Mary/    maliath taibootho/ full of grace/    moran a'amekh  - the Lord is with thee/    mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/    wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/  and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/    O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/    yoldath aloho/  Mother of God/    saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/    nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./    Amîn   Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/ maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

 

Just as the most bitter medicine drives out poisonous creatures so prayer joined to fasting drives evil thoughts away. (Amma Syncletica )

Just as the most bitter medicine drives out poisonous creatures so prayer joined to fasting drives evil thoughts away. (Amma Syncletica )

 

UN MONDE DESESPERANT ?

 

SOUFFRIR AU MONDE...

 

Souffrir au monde

Le monde va-t-il si mal ?

Est-il pire qu’avant ?

Pire que jamais ?

Je voudrais le savoir.

J’éteins tous ces écrans qui font écran à une juste perception des choses.

Et j’ouvre les yeux.

Je dois conduire ma fille chez le docteur.

En salle d’attente, les patients sont patients et leur patience est souriante.

Le docteur nous accueille avec une gentillesse qui est en elle-même le meilleur des remèdes.

Mon cœur déborde doucement de gratitude pour notre humanité, pour ce pays qui soigne mes enfants, pour Dieu d’où provient toute bonté… 

Non, le monde ne va pas si mal.

Sur la route du retour, je ne sais quel incident nous met tous en bouteille.

Le spectacle n’est pas beau : chacun, enfermé dans son air conditionné, avec ce corps de taule que nous font les voitures.

Dans la file devant moi, une vitre s’abaisse, une main molle laisse tomber au sol un paquet de cigarettes vide. Le monde est notre bidonville.

Omniprésents, les déchets disent notre déchéance, morale et spirituelle. Je fonds à nouveau, mais à l’envers. 

Je me consume de désespoir.

Mais alors, le monde va-t-il si mal ?

Le diagnostic est impossible.

Il y a le mystère du bien.

Il y a celui du mal.

Le geste qui soigne et l’indifférence crasse.

Entre les deux, il n’y a pas de commune mesure. 

Le monde balance entre le Tout du bien et le Rien du mal. 

Ce n’est pas l’un ou l’autre, mais l’un et l’autre.

 

Or cette absence de savoir définitif sur l’état du monde a sa fécondité. Puisque nous ne savons pas si ce monde autorise qu’on désespère de lui ou s’il se prête à notre enthousiasme, chacun est invité à une double disponibilité :

s’ouvrir au bien qui s’offre ;

souffrir du mal qui blesse.

 

Tout le reste, optimisme naïf ou pessimisme raffiné, vient du démon.

Martin Steffens

Souffrir au monde

Le monde va-t-il si mal ? Est-il pire qu’avant ? Pire que jamais ? Je voudrais le savoir. J’éteins tous ces écrans qui font écran à une juste perception des choses. Et j’ouvre les yeux.

Je dois conduire ma fille chez le docteur. En salle d’attente, les patients sont patients et leur patience est souriante. Le docteur nous accueille avec une gentillesse qui est en elle-même le meilleur des remèdes. Mon cœur déborde doucement de gratitude pour notre humanité, pour ce pays qui soigne mes enfants, pour Dieu d’où provient toute bonté… Non, le monde ne va pas si mal.

Sur la route du retour, je ne sais quel incident nous met tous en bouteille. Le spectacle n’est pas beau : chacun, enfermé dans son air conditionné, avec ce corps de taule que nous font les voitures. Dans la file devant moi, une vitre s’abaisse, une main molle laisse tomber au sol un paquet de cigarettes vide. Le monde est notre bidonville. Omniprésents, les déchets disent notre déchéance, morale et spirituelle. Je fonds à nouveau, mais à l’envers. Je me consume de désespoir.

Mais alors, le monde va-t-il si mal ? Le diagnostic est impossible. Il y a le mystère du bien. Il y a celui du mal. Le geste qui soigne et l’indifférence crasse. Entre les deux, il n’y a pas de commune mesure. Le monde balance entre le Tout du bien et le Rien du mal. Ce n’est pas l’un ou l’autre, mais l’un et l’autre.

Or cette absence de savoir définitif sur l’état du monde a sa fécondité. Puisque nous ne savons pas si ce monde autorise qu’on désespère de lui ou s’il se prête à notre enthousiasme, chacun est invité à une double disponibilité : s’ouvrir au bien qui s’offre ; souffrir du mal qui blesse.

Tout le reste, optimisme naïf ou pessimisme raffiné, vient du démon.

Martin Steffens

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 5,43-48.

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Vous avez appris qu’il a été dit : ‘Tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi’. 
Eh bien ! moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persécutent, 
afin d’être vraiment les fils de votre Père qui est aux cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, il fait tomber la pluie sur les justes et sur les injustes. 
En effet, si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous ? Les publicains eux-mêmes n’en font-ils pas autant ? 
Et si vous ne saluez que vos frères, que faites-vous d’extraordinaire ? Les païens eux-mêmes n’en font-ils pas autant ? 
Vous donc, vous serez parfaits comme votre Père céleste est parfait. » 
 





Par Saint Augustin

(354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église 
Commentaire sur la 1ère lettre de saint Jean, n°1,9 ; SC 75 (trad. SC ,p. 134 ; Bouchet, Lectionnaire, p. 291) 

« Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait »

 

      « À ce signe nous reconnaissons que nous sommes en Dieu : si en lui nous sommes parfaits. »

Jean veut dire ici :

parfaits dans l'amour (1Jn 4,17).

Quelle est la perfection de l'amour ?

D'aimer nos ennemis et de les aimer à ce point qu'ils deviennent nos frères.

Notre amour, en effet, ne doit pas être selon la chair.

Aime donc tes ennemis en souhaitant qu'ils deviennent tes frères ; aime tes ennemis de sorte qu'ils soient appelés à entrer en communion avec toi. 

      Ainsi aima en effet celui qui, pendu sur la croix, disait : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font »

(Lc 23,34).

Il voulait les arracher à la mort éternelle par une prière toute pleine de miséricorde et une puissance très forte.

Nombre d'entre eux ont cru d'ailleurs, et ils ont été pardonnés d'avoir versé le sang du Christ.

Ils l'avaient versé en s'acharnant contre lui ; ils l'ont bu ensuite lorsqu'ils ont cru.

« À ce signe nous savons que nous sommes en lui : si en lui nous sommes parfaits. »

C'est à cette perfection de l'amour des ennemis que le Seigneur nous invite lorsqu'il dit :

« Soyez donc parfaits comme votre Père céleste est parfait. »

 

 

MARDI 14 JUIN 2016/ELÉMENTS POUR MÉDITER, RÉFLÉCHIR, PRIER ET MIEUX AGIR :
PEUT-ON SE PASSER DE DIEU ?
Bonne question ! –

Presque chaque mois, en France, dans une revue ou une autre, un journal ou l’autre, un article reflète la préoccupation contemporaine à l’égard de Dieu. On pourrait faire le recensement de tous les articles ou dossiers publiés au cours de cette année, qui n’est d’ailleurs pas finie ! C’est ainsi que le Nouvel Observateur du mois d’août dernier a eu comme titre parmi d’autres : « Peut-on se passer de Dieu ? »

« Théodépendance »

Les hommes cultivent bien des dieux et des divinités dont ils ne pourraient se passer. Ils ne peuvent se passer de dieu, d’un dieu, une de ces idoles auxquelles ils consacrent le meilleur d’eux-mêmes : des bonnes divinités comme l’art, la science, l’engagement politique et social, ou un passe-temps quelconque – et des divinités plus inquiétantes comme la drogue, la jugement d’autrui, toutes sortes de dépendances dont l’être humain ne peut plus se passer. « Plutôt mourir que me passer de télé », disait quelqu’un… Le dieu suprême de notre civilisation est le Plaisir, comme l’ont déjà dit Nerval et Baudelaire, divinité tyrannique et insatiable. Derrière tout cela, il y a souvent la divinité du « moi » : celui-ci ne rêve que d’être un dieu ou une déesse pour les autres, et de cette chimère non plus il ne peut se passer. La religion elle-même est quelquefois l’idole de nombreux qui croient croire… Toute personne rencontrée, nous pouvons nous interroger à son sujet : quel est son dieu ? Quelle est son idole ? Le moraliste La Bruyère montre dans les Caractères l’être humain asservi à ses dieux. Nous ne vivons pas dans un monde athée ; nous vivons dans un polythéisme de fait ; et, d’un dieu avec un petitd, l’homme ne peut se passer.

La grande indifférence

En revanche, Dieu, le Seigneur du ciel et de la terre et tout ce qu’ils renferment, nous nous en passons souvent fort bien. Toute notre vie, même chez nous les chrétiens, s’organise souvent sans lui. Nombreux ceux qui vivent ainsi, dans l’indifférence totale à l’existence d’une telle réalité, à plus forte raison d’une telle personne. Se passer de Dieu consiste à ne jamais rien lui demander, à ne jamais tenir compte de son avis, à organiser toute notre vie comme s’Il ne s’était jamais exprimé dans la Bible, par exemple, ou à travers l’exemple des saints ; à ne jamais rien faire pour lui, ou bien seulement de temps en temps. Soit il n’y a pas de Dieu, et, selon Diderot, cette pensée n’effraye personne ; soit il y en a un, mais c’est comme s’il n’y avait « personne », cela ne change rigoureusement rien à notre comportement, à notre pensée, à nos choix de vie ; et tout va bien comme cela. Certains s’en flattent : ma religion est la meilleure – je ne prie pas, je ne fais pas de carême, je ne vais pas à l’église, et je vais très bien ! Cela n’empêche pas le monde de tourner ! En fait, Dieu, s’Il existe, n’a aucune espèce d’importance, et l’être humain vit, ou croit vivre, très bien ainsi, puisqu’il a les autres divinités, surtout lui-même, à qui il passe tout, dont il fait tous les caprices, et à qui il sacrifie volontiers les autres : moi d’abord, les autres ensuite ! Et même, pour reprendre une problématique déjà évoquée, parmi ceux qui servent les autres, les philanthropes, les caritatifs, nombreux vous diront qu’ils se passent très bien de Dieu. On s’en passe parce qu’on ne le connaît pas. On l’ignore par ignorance !

Le Bien-aimé

C’est peut-être, en fait, une bonne nouvelle que l’être humain ne soit pas dans la dépendance, l’asservissement à Dieu, alors qu’il l’est aux dieux. Le lien avec Dieu n’est pas de type addictif. Si la religion a ses idoles et ses sous-produits, si elle a ses dépendants, la religion véritable est celle de la liberté, celle qu’Adam connut au Paradis. Le projet initial était bien celui d’un dialogue divino humain fondé, non sur le besoin ou la dépendance, mais sur l’émerveillement mutuel, la confiance et l’amour. Relisons les Confessions d’Augustin… Celui ou celle qui a trouvé l’amour de sa vie ne peut plus se passer de cette personne. Celui qui a rencontré le Christ, le Dieu vivant, le Dieu-Homme, ne veut plus vivre sans lui. Tant qu’il ne le connaissait pas, il vivait sans lui et sans savoir de quel bonheur il était privé. Maintenant qu’il le connaît, il ne veut plus, ne peut plus lâcher la main du Dieu de miséricorde ; il ne peut plus se priver de la Sagesse en personne. Selon les saints Pères, il est une affinité naturelle entre Dieu et l’être humain, un dialogue qui tend naturellement à la communion infinie ; et notre cœur ne peut se lasser de chercher l’union parfaite avec Celui qui nous aime et que nous aimons. Quand nous pouvons, grâce à la Foi et au saint baptême, nous alimenter de sa chair et de son sang, dans l’immense expérience eucharistique, nous disons également que nous ne pouvons plus nous en passer. Plutôt mourir, dit le chrétien, que d’être séparé de Jésus Christ, privé de la communion à son Corps très pur et à son Sang très précieux !

(Source: "Sagesse Orthodoxe")

 

Toujours aucune nouvelle d'eux....Nous espérons...

 

*Rappel des faits:

Le 22 avril 2013, Mgr Yohanna (Jean) Ibrahim, archevêque syriaque orthodoxe d’Alep, et Mgr Boulos (Paul) Yazigi, archevêque grec orthodoxe de la même ville, étaient enlevés à l’ouest d’Alep en Syrie. Les deux évêques s’étaient rendus en voiture,fraternellement, avec un chauffeur, dans cette région pour tenter de négocier la libération de deux prêtres enlevés en février précédent : le Père Michel Kayyal (catholique arménien) le le Père Maher Mahfouz (grec-orthodoxe). C’est l’un des enlèvements les plus étranges en période de guerre puisqu’il n’y a eu aucune revendication. Même les médias ne s’intéressent pas beaucoup à cette affaire, jugée peu sulfureuse et surtout incompréhensible. Pour cette raison, le site Internet grec Pemptousia met en ligne une pétition (en anglais) pour la libération de deux hiérarques. Pour la signer,pétition relayée en France par Orthodoxie.com et nous-même  cliquez ICI !

Merci.

 

 

 

N'oublions-pas de prier pour les évêques, prêtres et

 

fidèles chrétiens détenus par les "islamistes"

 

ou terroristesen tous genres !

 

Prions sans relâche pour que le

 

Seigneur les soutienne. Prions pour leur libération ...

 

  

Let us not forget the bishops, priests and faithful

 

Christians held by "Islamists" or terrorists of all

 

kinds! Pray tirelessly for the Lord to sustain them.

 

Pray for their release ...

 

 

The Lord came to send fire upon the earth (cf. Lk. 12:49), and through participation in this fire He makes divine not just the human substance which He assumed for our sake, but every person who is found worthy of communion with Him. (St. Gregory Palamas)
 

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Programme des prochaines semaines au Monastère Syriaque de la Bienheureuse Vierge Marie, Mère de Miséricorde:

"A person who, knowing what faults he has committed, willingly and with due thankfulness endures the trials painfully inflicted on him as a consequence of these faults, is not exiled from grace or from his state of virtue; for he submits willingly and pays off his debts by accepting the trials. In this way, while remaining in a state of grace and virtue, he pays tribute not only with his enforced sufferings, which have arisen out of the impassioned side of his nature, but also with his mental assent to these sufferings, accepting them as his due on account of his former offenses. Through true worship, by which I mean a humble disposition, he offers to God the correction of his offenses." (St. Maximos the Confessor (The Philokalia Vol. 2; Faber and Faber pg. 285))

Program in the coming weeks

Syriac Monastery of the Blessed Virgin Mary, Mother of Mercy:

 

Lundi 4 JANVIER 2016 / ELÉMENTS POUR MÉDITER, RÉFLÉCHIR, PRIER ET MIEUX AGIR:
 

 

Au Monastère Syriaque de

CHANDAI-BREVILLY (61) :

(Messe tous les dimanches et en

semaine à 10h30.

Petits Pèlerinages sur Semaine

tous les :

*22 et

*29 du mois)

 

 

 

 

 

*Dimanche 3 Juillet:

 

 Pèlerinage mensuel à N-D de Miséricorde

'You have the power to incline either upwards or downwards: choose what is superior and you will bring what is inferior into subjection.' (St. Thalassios the Libyan)

Mère de Miséricorde, priez pour nous, secourez-nous!

et aux Saints du Kerala.

 

 

St Abraham Koorilose Bava,priez pour nous!

10h30, Messe suivie  du repas fraternel,

possibilité de recontrer un prêtre (Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)

 

St Gregorios de Parumala, priez pour nous !

 

Ramassage des fidèles sur

 

*Paris: le Samedi 2 Juillet  à 15 h 

 

au lieu de R.D.V habituel.

 

  

* Sunday, June 5:
  monthly pilgrimage to N-D Mercy and Saints Kerala.
10:30 am Mass followed by a fraternal meal and reception of the faithful.

 

 

 

 

Pèlerinage à Notre-Dame de Miséricorde

 

au Monastère Syriaque 

 

Tous les 1ers Weekend du mois

 

(Ramassage des fidèles de région parisienne chaque samedi précédent le 1er dimanche du mois à 15h )

===

Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,


Brévilly

61300 CHANDAI.

Tel: 02.33.24.79.58

ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonées)

Adresse courriels: asstradsyrfr@laposte.net

 

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Note:

l'Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise

Orthodoxe-Orientale. 

 

Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité

des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien

et la paix du monde.

¤ Permanence pastorale en diverses région de France pour : Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)…

Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil 

des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles , 

nous n'exigeons aucun fixe.

Les offrandes sont libres et non 

obligatoires

Toute offrande fait cependant l'objet d'une 

déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre 

revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F " 

 

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin  Mary/    maliath taibootho/ full of grace/    moran a'amekh  - the Lord is with thee/    mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/    wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/  and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/    O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/    yoldath aloho/  Mother of God/    saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/    nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./    Amîn   Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/ maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

 

Just as the most bitter medicine drives out poisonous creatures so prayer joined to fasting drives evil thoughts away. (Amma Syncletica )

Just as the most bitter medicine drives out poisonous creatures so prayer joined to fasting drives evil thoughts away. (Amma Syncletica )

 
MARDI 14 JUIN 2016/ELÉMENTS POUR MÉDITER, RÉFLÉCHIR, PRIER ET MIEUX AGIR :
PEUT-ON SE PASSER DE DIEU ?
Bonne question ! –

Presque chaque mois, en France, dans une revue ou une autre, un journal ou l’autre, un article reflète la préoccupation contemporaine à l’égard de Dieu. On pourrait faire le recensement de tous les articles ou dossiers publiés au cours de cette année, qui n’est d’ailleurs pas finie ! C’est ainsi que le Nouvel Observateur du mois d’août dernier a eu comme titre parmi d’autres : « Peut-on se passer de Dieu ? »

« Théodépendance »

Les hommes cultivent bien des dieux et des divinités dont ils ne pourraient se passer. Ils ne peuvent se passer de dieu, d’un dieu, une de ces idoles auxquelles ils consacrent le meilleur d’eux-mêmes : des bonnes divinités comme l’art, la science, l’engagement politique et social, ou un passe-temps quelconque – et des divinités plus inquiétantes comme la drogue, la jugement d’autrui, toutes sortes de dépendances dont l’être humain ne peut plus se passer. « Plutôt mourir que me passer de télé », disait quelqu’un… Le dieu suprême de notre civilisation est le Plaisir, comme l’ont déjà dit Nerval et Baudelaire, divinité tyrannique et insatiable. Derrière tout cela, il y a souvent la divinité du « moi » : celui-ci ne rêve que d’être un dieu ou une déesse pour les autres, et de cette chimère non plus il ne peut se passer. La religion elle-même est quelquefois l’idole de nombreux qui croient croire… Toute personne rencontrée, nous pouvons nous interroger à son sujet : quel est son dieu ? Quelle est son idole ? Le moraliste La Bruyère montre dans les Caractères l’être humain asservi à ses dieux. Nous ne vivons pas dans un monde athée ; nous vivons dans un polythéisme de fait ; et, d’un dieu avec un petitd, l’homme ne peut se passer.

La grande indifférence

En revanche, Dieu, le Seigneur du ciel et de la terre et tout ce qu’ils renferment, nous nous en passons souvent fort bien. Toute notre vie, même chez nous les chrétiens, s’organise souvent sans lui. Nombreux ceux qui vivent ainsi, dans l’indifférence totale à l’existence d’une telle réalité, à plus forte raison d’une telle personne. Se passer de Dieu consiste à ne jamais rien lui demander, à ne jamais tenir compte de son avis, à organiser toute notre vie comme s’Il ne s’était jamais exprimé dans la Bible, par exemple, ou à travers l’exemple des saints ; à ne jamais rien faire pour lui, ou bien seulement de temps en temps. Soit il n’y a pas de Dieu, et, selon Diderot, cette pensée n’effraye personne ; soit il y en a un, mais c’est comme s’il n’y avait « personne », cela ne change rigoureusement rien à notre comportement, à notre pensée, à nos choix de vie ; et tout va bien comme cela. Certains s’en flattent : ma religion est la meilleure – je ne prie pas, je ne fais pas de carême, je ne vais pas à l’église, et je vais très bien ! Cela n’empêche pas le monde de tourner ! En fait, Dieu, s’Il existe, n’a aucune espèce d’importance, et l’être humain vit, ou croit vivre, très bien ainsi, puisqu’il a les autres divinités, surtout lui-même, à qui il passe tout, dont il fait tous les caprices, et à qui il sacrifie volontiers les autres : moi d’abord, les autres ensuite ! Et même, pour reprendre une problématique déjà évoquée, parmi ceux qui servent les autres, les philanthropes, les caritatifs, nombreux vous diront qu’ils se passent très bien de Dieu. On s’en passe parce qu’on ne le connaît pas. On l’ignore par ignorance !

Le Bien-aimé

C’est peut-être, en fait, une bonne nouvelle que l’être humain ne soit pas dans la dépendance, l’asservissement à Dieu, alors qu’il l’est aux dieux. Le lien avec Dieu n’est pas de type addictif. Si la religion a ses idoles et ses sous-produits, si elle a ses dépendants, la religion véritable est celle de la liberté, celle qu’Adam connut au Paradis. Le projet initial était bien celui d’un dialogue divino humain fondé, non sur le besoin ou la dépendance, mais sur l’émerveillement mutuel, la confiance et l’amour. Relisons les Confessions d’Augustin… Celui ou celle qui a trouvé l’amour de sa vie ne peut plus se passer de cette personne. Celui qui a rencontré le Christ, le Dieu vivant, le Dieu-Homme, ne veut plus vivre sans lui. Tant qu’il ne le connaissait pas, il vivait sans lui et sans savoir de quel bonheur il était privé. Maintenant qu’il le connaît, il ne veut plus, ne peut plus lâcher la main du Dieu de miséricorde ; il ne peut plus se priver de la Sagesse en personne. Selon les saints Pères, il est une affinité naturelle entre Dieu et l’être humain, un dialogue qui tend naturellement à la communion infinie ; et notre cœur ne peut se lasser de chercher l’union parfaite avec Celui qui nous aime et que nous aimons. Quand nous pouvons, grâce à la Foi et au saint baptême, nous alimenter de sa chair et de son sang, dans l’immense expérience eucharistique, nous disons également que nous ne pouvons plus nous en passer. Plutôt mourir, dit le chrétien, que d’être séparé de Jésus Christ, privé de la communion à son Corps très pur et à son Sang très précieux !

(Source: "Sagesse Orthodoxe")

 

Toujours aucune nouvelle d'eux....Nous espérons...

 

*Rappel des faits:

Le 22 avril 2013, Mgr Yohanna (Jean) Ibrahim, archevêque syriaque orthodoxe d’Alep, et Mgr Boulos (Paul) Yazigi, archevêque grec orthodoxe de la même ville, étaient enlevés à l’ouest d’Alep en Syrie. Les deux évêques s’étaient rendus en voiture,fraternellement, avec un chauffeur, dans cette région pour tenter de négocier la libération de deux prêtres enlevés en février précédent : le Père Michel Kayyal (catholique arménien) le le Père Maher Mahfouz (grec-orthodoxe). C’est l’un des enlèvements les plus étranges en période de guerre puisqu’il n’y a eu aucune revendication. Même les médias ne s’intéressent pas beaucoup à cette affaire, jugée peu sulfureuse et surtout incompréhensible. Pour cette raison, le site Internet grec Pemptousia met en ligne une pétition (en anglais) pour la libération de deux hiérarques. Pour la signer,pétition relayée en France par Orthodoxie.com et nous-même  cliquez ICI !

Merci.

 

 

 

N'oublions-pas de prier pour les évêques, prêtres et

 

fidèles chrétiens détenus par les "islamistes"

 

ou terroristesen tous genres !

 

Prions sans relâche pour que le

 

Seigneur les soutienne. Prions pour leur libération ...

 

  

Let us not forget the bishops, priests and faithful

 

Christians held by "Islamists" or terrorists of all

 

kinds! Pray tirelessly for the Lord to sustain them.

 

Pray for their release ...

 

 

The Lord came to send fire upon the earth (cf. Lk. 12:49), and through participation in this fire He makes divine not just the human substance which He assumed for our sake, but every person who is found worthy of communion with Him. (St. Gregory Palamas)
 
 

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Programme des prochaines semaines au Monastère Syriaque de la Bienheureuse Vierge Marie, Mère de Miséricorde:

"A person who, knowing what faults he has committed, willingly and with due thankfulness endures the trials painfully inflicted on him as a consequence of these faults, is not exiled from grace or from his state of virtue; for he submits willingly and pays off his debts by accepting the trials. In this way, while remaining in a state of grace and virtue, he pays tribute not only with his enforced sufferings, which have arisen out of the impassioned side of his nature, but also with his mental assent to these sufferings, accepting them as his due on account of his former offenses. Through true worship, by which I mean a humble disposition, he offers to God the correction of his offenses." (St. Maximos the Confessor (The Philokalia Vol. 2; Faber and Faber pg. 285))

Program in the coming weeks

Syriac Monastery of the Blessed Virgin Mary, Mother of Mercy:

 

Lundi 4 JANVIER 2016 / ELÉMENTS POUR MÉDITER, RÉFLÉCHIR, PRIER ET MIEUX AGIR:
 

 

Au Monastère Syriaque de

CHANDAI-BREVILLY (61) :

(Messe tous les dimanches et en

semaine à 10h30.

Petits Pèlerinages sur Semaine

tous les :

*22 et

*29 du mois)

 

*Dimanche 3 Juillet:

 

 Pèlerinage mensuel à N-D de Miséricorde

'You have the power to incline either upwards or downwards: choose what is superior and you will bring what is inferior into subjection.' (St. Thalassios the Libyan)

Mère de Miséricorde, priez pour nous, secourez-nous!

et aux Saints du Kerala.

 

 

St Abraham Koorilose Bava,priez pour nous!

10h30, Messe suivie  du repas fraternel,

possibilité de recontrer un prêtre (Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)

 

St Gregorios de Parumala, priez pour nous !

 

Ramassage des fidèles sur

 

*Paris: le Samedi 2 Juillet  à 15 h 

 

au lieu de R.D.V habituel.

 

  

* Sunday, June 5:
  monthly pilgrimage to N-D Mercy and Saints Kerala.
10:30 am Mass followed by a fraternal meal and reception of the faithful.

 

 

Pèlerinage à Notre-Dame de Miséricorde

 

au Monastère Syriaque 

 

Tous les 1ers Weekend du mois

 

(Ramassage des fidèles de région parisienne chaque samedi précédent le 1er dimanche du mois à 15h )

===

Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,


Brévilly

61300 CHANDAI.

Tel: 02.33.24.79.58

ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonées)

Adresse courriels: asstradsyrfr@laposte.net


 

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Note:

l'Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise

Orthodoxe-Orientale. 

 

Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité

des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien

et la paix du monde.

¤ Permanence pastorale en diverses région de France pour : Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)…

Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil 

des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles , 

nous n'exigeons aucun fixe.

Les offrandes sont libres et non 

obligatoires

Toute offrande fait cependant l'objet d'une 

déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre 

revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F " 

 

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin  Mary/    maliath taibootho/ full of grace/    moran a'amekh  - the Lord is with thee/    mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/    wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/  and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/    O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/    yoldath aloho/  Mother of God/    saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/    nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./    Amîn   Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/ maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

 

Just as the most bitter medicine drives out poisonous creatures so prayer joined to fasting drives evil thoughts away. (Amma Syncletica )

Just as the most bitter medicine drives out poisonous creatures so prayer joined to fasting drives evil thoughts away. (Amma Syncletica )


Par Saint Augustin

(354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église 
Commentaire sur la 1ère lettre de saint Jean, n°1,9 ; SC 75 (trad. SC ,p. 134 ; Bouchet, Lectionnaire, p. 291) 

« Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait »

 

      « À ce signe nous reconnaissons que nous sommes en Dieu : si en lui nous sommes parfaits. »

Jean veut dire ici :

parfaits dans l'amour (1Jn 4,17).

Quelle est la perfection de l'amour ?

D'aimer nos ennemis et de les aimer à ce point qu'ils deviennent nos frères.

Notre amour, en effet, ne doit pas être selon la chair.

Aime donc tes ennemis en souhaitant qu'ils deviennent tes frères ; aime tes ennemis de sorte qu'ils soient appelés à entrer en communion avec toi. 

      Ainsi aima en effet celui qui, pendu sur la croix, disait : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font »

(Lc 23,34).

Il voulait les arracher à la mort éternelle par une prière toute pleine de miséricorde et une puissance très forte.

Nombre d'entre eux ont cru d'ailleurs, et ils ont été pardonnés d'avoir versé le sang du Christ.

Ils l'avaient versé en s'acharnant contre lui ; ils l'ont bu ensuite lorsqu'ils ont cru.

« À ce signe nous savons que nous sommes en lui : si en lui nous sommes parfaits. »

C'est à cette perfection de l'amour des ennemis que le Seigneur nous invite lorsqu'il dit :

« Soyez donc parfaits comme votre Père céleste est parfait. »

 

 

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